Les potes du marié (fin)
Les potes du marié (2)
Les potes du marié (1)
Le dossier caché (fin)
Le dossier caché (1)
L'autostoppeuse
Dans ma profession, je me promène beaucoup en voiture et je croise pas mal d'autostoppeurs, mais peu qui aillent vers une destination que je puisse honorer.
Un jour, il y en avait une qui faisait du stop au péage et elle n’est pas venue jusqu’à ma voiture, et j’ai un peu regretté… en même temps, je ne sais pas ce que j’aurais fait… c’était peut-être une tueuse en série, une mante religieuse… ;op ou la fille de la chanson de Renan Luce qui voulait aller à Nantes…
Mais bon, j’imagine qu’elle aurait pu vouloir être reconnaissante de la « prendre » dans ma voiture. Après plusieurs dizaines de kilomètres de discussion sur tout et rien, la météo, la situation professionnelle de chacun, la situation personnelle, nous aurions pu dériver sur le sexe. Moi, lui disant que je fantasmais souvent sur le fait de prendre un jour une autostoppeuse un peu lubrique et elle, me répondant qu’elle fantasmait sur une aventure avec un inconnu séduisant.
Prenant ce compliment pour moi, j’aurais alors posé ma main sur son jeans. Elle n’aurait pas repoussé ma main et n’aurait pas non plus bougé lorsque ma main serait remontée entre ses cuisses. Soutenant mon regard tout ce temps, elle aurait elle aussi posé sa main sur ma cuisse et serait remontée entre mes jambes, jaugeant l’afflux du sang dans mes corps caverneux. Partagé entre sa main et la route, j’aurais alors cherché la prochaine aire disponible pour poursuivre cette aventure. Le panneau m’indiquant qu’elle s’annonçait à 20 km , ne ferait que m’exciter d’avantage, me demandant comment j’allais pouvoir attendre tout ce temps. Elle aurait souri lorsque la voiture se serait mise à accélérer. Elle aurait ri en me disant que se serait dommage de prendre une prune pour excès de vitesse et qu’elle n’avait pas besoin, elle, de regarder la route. Je lui aurais alors souri à mon tour et aurait repris la route des yeux.
J’aurais alors senti ses mains s’occuper de ma ceinture, défaire mon pantalon et s’attaquer à mon boxer. J’aurais soulevé le bassin pour qu’elle dénude mon sexe et qu’elle le prenne entres ses mains douces et fraîches. Elle m’aurait caressé doucement, la paume de sa main tournoyant sur mon gland. Puis elle se serait penchée entre moi et mon volant pour remplacer sa main de ses lèvres brûlantes. L’envie de la regarder aurait été insoutenable et les kilomètres ne défilaient pas. La coquine aurait été tellement habile que j’aurais été obligé de la faire ralentir pour ne pas jouir prématurément au fond de sa gorge. J’en aurais d’ailleurs profité pour glisser ma main dans son dos et descendre entre ses fesses que j’aurais pétries avec envie.
Elle serait alors redressée, adossée au fond de son siège. Elle aurait défait la grosse ceinture de son jeans, l’aurait ouvert et quitté, me dévoilant son string transparent laissant deviner la fine toison qui couvre ton pubis. Puis elle aurait légèrement écarté le carré de tissu et y aurait inséré ses doigts. M’exhibant son sexe qu’elle malmènerait réfugiée derrière ses yeux mi-clos. Elle aurait rouvert ses yeux en entendant le clignotant cliqueter, lui indiquant l’accès à cette aire de repos tant attendue. J’aurais alors garé mon véhicule à l’écart de l’activité restreinte sur cette aire, aurait détaché ma ceinture de sécurité et la sienne.
Puis je me serais approché d’elle, l’aurait embrassée se serait descendu dans son cou. Mes mains se seraient glissées sous son pull et seraient remontées sur sa poitrine plus opulente que sa tenue ne le laissait croire. J’aurais immédiatement cherché à dégrafer son soutien gorge pour retrouver le contact de nos peaux sur sa chair tendue. Sa main aurait retrouvé mon sexe et le caresserait avec vigueur. J’aurais alors écarté sa main pour plonger entre ses cuisses et me rassasier à sa source intime et abondante. Ses mains se seraient alors rejointes dans mes cheveux et mes mains sur sous son pull remonté sur son ventre. D’un coup de hanche, elle m’aurait fait me redresser. Elle se serait emparée de son sac et en aurait sorti un préservatif qu’elle aurait, d’un geste habile, sorti de son étui et déroulé sur mon sexe tendu. Ensuite, elle serait venue se placer entre moi et le volant. L’espace étant restreint et après un fou rire passager, nous aurions rejoint le fauteuil passager, mon sexe contre le sien, dans une contorsion digne d’un numéro du Grand Cabaret de Patrick Sébastien. Elle aurait ondulé du bassin pour me guider en elle et se serait empalée doucement sur moi. La buée sur les vitres aurait parfait le remake de Titanic et les mouvements de la voiture auraient pu intriguer plus d’un badaud. Elle se serait débarrassée de son pull pour me serrer contres ses seins. Mes mains entre ses fesses caressant ardemment sono œillet palpitant, j’aurais accentué ses ondulations de quelque coup de reins profond. Ses gémissements s’accélérant, nous aurions atteint l’orgasme quasi-simultanément dans un duo de râles de satisfaction. Dans un silence quasi-religieux, nous nous serions rhabillés, reconnaissants l’un envers l’autre.
Nous aurions repris la route sans vraiment faire allusion à cette parenthèse enchantée. Je l’aurais rapproché au plus près de son point de chute, lui proposant mon numéro en sachant très bien qu’elle ne le prendrait pas. Elle m’aurait alors quitté en m’embrassant chastement sur la joue et je l’aurais regardé partir, dans une démarche gracieuse et assurée, admirant une dernière fois son joli cul. ;op
Pause déjeuner

J'aimerais savoir...
(photo vue sur internet)
Est-ce que, dès son arrivée après une journée harassante, tu lui prépares quelque menu bien orienté ?
Un cheminement de bougies jusqu’à ta chambre, où tu l’attends, lascive, dans un déshabillé rouge transparent, révélant tes dessous sexy, soutien gorge de dentelle noire et string minimaliste assorti, porte-jarretelles et bas soulignant les courbes de ton corps affamé ?
Le serveur
Imagine-toi, dans ton canapé.
Le serveur du bar qui avait pris ton contact pour un appel t’avait proposé de te ramener chez toi, vu que la fourrière avait embarqué ta Clio (oui, lectrice, je t’imagine en Clio) Charmée par ses manières, tu lui avais proposé de prendre un café (parce qu’un verre en plein milieu de l’après-midi, ça faisait un peu louche).
Il s’était assis sur le pouf de l’autre côté de la table basse et vous aviez, dans un silence pesant, dégusté votre Nespresso (Ben oui, quoi d’autre ?) Puis, maladroit, il t’avait lancé « vous êtes très belle » Tu avais rougi devant ces compliments, mais n’avait pas répondu. Puis il s’était levé et était venu s’asseoir à tes côtés. Il avait posé une main sur ton genou, main que tu n’avais pas repoussée. A présent, sa main remontait entre tes jambes, en cercles langoureux. Pour lui signifier ton agrément, s’il n’avait pas compris, tu avais légèrement écarté tes cuisses pour lui laisser juste le passage de sa main vers tes dessous qui s’humidifiaient.
Lorsque sa main avait atteint le tissu de ton string de dentelle, tu t’étais laissée aller en arrière dans ton canapé, les pieds toujours au sol mais de plus en plus écartés. Il passe alors son bras sous ton cou et approche son visage du tien. Il te vole un baiser furtif. Tes lèvres appellent à son retour, mais il descend sur ta gorge.
Sa main a quitté ton entrecuisse malgré l’expression de ta déception passagère et remonte à présent vers ta poitrine dressée. Il masse la chair de ton sein et caresse du pouce le mamelon durci, pointant à travers ton débardeur. Sa main contourne à présent ce haut encombrant et passe entre ton soutien gorge et ta peau pour empoigner ta poitrine avec vigueur. Son bras en appui dans ton cou descend dans ton dos pour, d’une main experte, faire sauter l’attache qui empêche son autre main d’exprimer son envie de t’étreindre. Tu te redresses légèrement et les bras en croix, fais voler ces remparts aux contacts de vos peaux.
Tu poses alors ta main entre ses cuisses pour apprécier la vigueur de la bête qui rôde. Sa force t’impressionne. Tu veux la libérer. Tu t’empares du cordon de coton qui maintien son pantalon en lin, défais le nœud et glisses ta main sous le tissu pour attraper l’animal. Il palpite dans ta main. Tu ne peux refréner une envie d’aller et venir dessus, de le branler et faire durcir encore ce qui ressemble à un sceptre de marbre chaud. Son visage à glissé sur ton sein qu’il tète avec gourmandise tandis que sa main a repris place entre tes cuisses.
Ses doigts sont passés sous le carré de dentelle et caressent ton pubis fraichement tondu. Ses doigts se glissent dans la fente de ton sexe. Ton bassin s’avance pour lui laisser le passage. Le rouge à tes joues ne peut plus préjuger de ton excitation ou de ta gêne. Tu t’imagines regarder la scène, depuis l’autre bout de la pièce, outrée. De te voir entre les doigts d’un illustre inconnu. Mais ton désir fait taire cette petite voix d’un grand coup de gourdin sur la tête.
Et tu te redresses pour libérer le sexe de cet homme. Il se met debout face à toi. Tu fais descendre fébrilement son pantalon, son boxer, il t’aide à s’en libérer. Il quitte sa chemise et le voilà, nu comme un vers, beau comme un dieu, le sceptre dressé sous tes yeux. Tu l’empoignes et le branles vigoureusement. Tu l’enfonces entre tes lèvres comme si tu n’avais pas mangé depuis des mois. Tu le suces et l’aspires avec avidité.
Mais ton désir est ailleurs. Tu remontes tes mains sur ses épaules et l’invite à s’accroupir à son tour. Tu l’embrasses et t’allonges à nouveau sur le canapé. Tu poses tes pieds sur la table basse et l’invites entre tes cuisses. Il écarte le string revenu dans le pli de ton sexe et embrasse tes lèvres avec douceur. Il titille tes lèves du bout de sa langue, recueille ton désir et l’étale sur ton sexe en émoi. Puis sa bouche prend en main le bouton de ton plaisir, celui que tu malmènes de tes doigts mouillés dans tes soirées de solitude, face à l’écran froid de ton ordinateur.
Aujourd’hui tu voulais du vrai, de la chair, d’autres plaisirs. Il passe et repasse sa langue sur ton sexe, entre tes lèvres, à l’entrée de la grotte béante qu’il imagine déjà combler de sa queue tendue. Ses mains, posées à l’intérieur de tes cuisses, les font remonter sur tes épaules. Il humidifie toute ton entrecuisse, il ose même aller dans le sillon de tes fesses, titiller cet œillet brun dans l’attente d’une réaction de ta part, réaction qu’il obtient quand ton bassin sursaute et le guide vers des plaisirs plus conventionnels (pas la première fois, quand même, il faut se connaître avant, c’est mieux)
Puis il se redresse et guide son sexe à l’entrée du tien. Il s’enfonce délicatement. Tu observes son visage, il regarde ton sexe l’avaler. Tu poses tes mains sur ses fesses et l’invite à t’empaler plus profondément encore. Puis son bassin se met à onduler, son sexe va et vient en toi. Tu ressens chaque poussée comme une décharge de plaisir. Il s’enfonce toujours plus profondément avec des soupirs de plaisir. Les mains sur tes hanches, il t’attire à lui, il s’arrête lorsqu’il est aux tréfonds de ton antre. Et il se retire complètement. Ton air interrogé l’amuse. Il prend ta jambe et te fait te retourner. À genoux sur ton canapé, tu lui tends ta croupe. Il relève ta jupe qu’il a tenu à laisser en place, écarte à nouveau l’élastique de ton string et présente à nouveau son sexe à l’entrée du tien. Sans attendre, il te pénètre profondément, encore plus que dans l’autre sens. Tu te sens transpercée. Il va et vient les yeux rivés sur ton cul, les mains ancrées dans tes hanches.
Le visage enfoui dans les coussins de ton canapé, tu attrapes ses mains et les attires à tes seins. Il les empoigne vigoureusement et les palpe frénétiquement de ses doigts habiles. Tu oses porter ta main entre tes cuisses, caresser avec vigueur ton clitoris dressé. Toutes ces caresses t’amènent naturellement au bord du précipice où il te pousse d’un ultime coup de rein. Tu ne peux t’empêcher de crier sous les vagues tu plaisir qui te prend. Tes cris brisent les dernières barrières qui le séparaient de son plaisir. Il jouit en de longues saccades au fond de toi, épris d’un plaisir sans limite. Il s’effondre à tes côtés, essoufflé.