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Les Humeurs de Blade

Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
7 avril 2012

Le fauteuil

J’imagine bien un fauteuil club, Elle allongée sur le lit le portable à ses côtés, feuilletant les pages de quelque blog coquin et relevant les passages les plus croustillant. Lui, avachi sur son fauteuil, ne dissimulant aucunement la montée du plaisir qui fait se dresser sa verge sous la toile de son pantalon. Elle lui lancerait : « Mais ces récits ont l’air de toucher Monsieur » Il répondrait, taquin « à quoi tu vois ça ? » Elle, féline, descendrait telle une vipère de son lit, rampant à ses pieds et remontant jusqu’à son torse, posant sa poitrine sur le membre prisonnier. « à ça » répondrait elle en appuyant ses seins et en ondulant du bassin pour monter et descendre sur le sexe au bord de l’explosion.
Ses yeux plantés dans ceux de son homme, elle s’apprêterait alors à libérer le sexe tendu. Elle le prendrait dans sa main comme elle prendrait un oiseau blessé, en caressant la peau du bout de ses doigts. Puis, au fur et à mesure, elle appuierait sa caresse, décalottant le gland déjà gonflé de désir. De son pouce, elle étalerait sur la peau sensible, la goutte de liquide qui perlerait. Puis elle descendrait pour humer et passer la pointe de sa langue sur cette peau rutilante. Elle sentirait se dresser plus encore la verge gonflée et lorsque ses lèvres se refermeraient dessus, elle sentirait le sang affluer plus encore.
Puis sa bouche s’empalerait sur le pieu dressé, accentuant au maximum le contact de ses joues et de sa langue sur la chair brûlante. Elle sucerait cette verge comme une friandise, sans perdre une goutte du précieux bonbon. Elle irait et viendrait avec une langueur étourdissante. Le bassin de Monsieur se dresserait pour pénétrer ces lèvres en profondeur à un rythme plus à son aise. Mais elle le maintiendrait en place, les avant-bras posé sur ses aines. Sa main laissée à la base du sexe prendrait alors le rythme de sa bouche. Tournoyant à son tour, montant et descendant à l’amont de ses lèvres, accélérant peu à peu, à la recherche du plaisir de son homme. Elle l’aspirerait, l’humidifierait, le sucerait sans juguler les bruits de succions, ni ses gémissements de plaisir face à la dégustation de sa queue qu’elle aime tant. Il avancerait sa main pour palper sa poitrine à travers le tissu de sa chemise de nuit. Il pénètrerait l’encolure pour obtenir le contact de sa peau, la dureté de son mamelon dressé. Les caresses buccales et manuelles, l’environnement sonore, le toucher de sa peau déclencherait les spasmes qui indiqueraient à Madame que le but est à portée de langue. Dans les esprits, une question. Cette question ne reste pas longtemps sans réponse. Madame accentue encore ses caresses, accélère le rythme. À cette pensée, Monsieur serre dans sa main le sein gonflé et jouit fébrilement au fond de la gorge de Madame qui se délecte du précieux nectar, observant le regard perdu de son homme agonisant de bonheur. 

Fauteuil
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3 novembre 2011

Les potes du marié (fin)

De son côté, Éric entreprend joyeusement le sexe de Lisa. Il y enfonce ses doigts qui vont et viennent entre ses lèvres, son pouce tournoyant sur son clitoris et son annulaire pénétrant son œillet. Fred se dégage alors de la bouche de Laetitia. Il s’agenouille et embrasse les filles qui se rejoignent dans un baiser à trois. Puis il plonge ses doigts dans la nuque de Lisa et la fait descendre sur la poitrine opulente de Laetitia qu’elle embrasse fougueusement en jouant avec ses lèvres sur les mamelons tendus. Puis, Fred accentue sa pression sur la nuque de sa compagne en l’invitant à plonger entre les cuisses de Laetitia. Laetitia fait alors passer ses jambes vers l’avant sans quitter le sexe d’Éric qui observe la scène derrière sa copine, ayant repris en mains ses seins gonflés de désir.
Lisa se positionne alors entre les jambes de sa copine, tendant sa croupe à son copain qui ne tarde pas à y diriger son sexe qu’il enfonce sans effort entre les lèvres enfiévrées de sa moitié.
Lisa s’affaire à lécher les sexes de leurs amis qui s’emboîtent sous son nez, titillant de sa langue tantôt le clitoris tendu de Laetitia, tantôt les bourses gonflées d’Éric. Tout le monde gémit et soupire dans cette partie carrée. Tout s’accélère quand Fred lance à Éric « tu pourrais pas laisser le sexe de Laetitia à Lisa ? » Laetitia se retourne alors vers Éric, le regarde en se dégageant de son sexe. Elle s’en empare et le dirige alors vers sa rosette dont elle lubrifie l’entrée avec ses sucs recueillis le long de sa queue. Il accentue la lubrification en enduisant ses doigts de salive et en les insérant dans l’anneau déjà détendu par le désir et le plaisir partagé. Puis elle s’assoit doucement sur son gland tout en le maintenant dressé. Puis, une fois son gland avalé, elle s’empale en douceur pour l’accepter tout entier dans son fourreau de velours.
Pendant ce temps, Fred a quitté le sexe de sa copine et lui lèche abondamment la croupe et sa rosette afin de lui infliger le même châtiment. Lisa ne semble pas opposée à la punition tant elle tend sa croupe vers son visage et qu’elle gémit à ses coups de langue.
Laetitia se met alors à monter et descendre, le sexe d’Éric entre les fesses et elle attire le visage de Lisa sur ses lèvres. Lisa pose ses coudes entre les jambes des deux amants, pose ses mains entre les cuisses de Laetitia, approche son visage de ses lèvres et aspire son clitoris gonflé ou laisse sa langue le caresser au rythme de ses va et vient. Dans le dos de Lisa, Fred décide finalement de monter sa levrette simplement, écartelant son anneau de ses pouces. Ses coups de reins s’harmonisent avec les halètements de Laetitia qui commence à flancher sous les multiples assauts dont elle est victime. Elle repasse ses jambes en arrière pour se pencher en avant, quittant de ses lèvres le visage de Lisa. Éric se dégage et s’agenouille dans son dos et reprend rapidement sa place entre ses fesses.
Du coup, Lisa bascule et prend place sous sa copine et joue de ses doigts sur et dans son sexe. Fred s’agenouille entre les cuisses de Lisa, les monte sur ses épaules pour retrouve son bassin à la hauteur de sa queue et s’y enfonce instantanément. Le bassin de Lisa se trouve à hauteur du visage de Laetitia qui embrasse alternativement le ventre de Fred et le mont de vénus de Lisa. Fred sort sa queue du sexe de sa douce et la fait goûter à la bouche avide de Laetitia. Puis il retourne forer le sexe de sa copine. L’excitation arrivant à son comble, Éric lâche le premier. Il est pris de longs râles rauques tant il tente de retenir son plaisir imminent, mais il ne peut s’empêcher de se répandre dans le cul de son adorée.
Quittant sa place entre ses fesses, il laisse Laetitia se poser sur le visage de Lisa. La surprise déclenche l’orgasme de Lisa qui se met à trembler et emmène avec elle celui de Laetitia. Les deux femmes gémissent en chœur pendant que Fred continue de la prendre sauvagement. L’orgasme de Lisa passé, il se retire de son sexe et laisse aux filles le loisir de le faire jouir dans un baiser saphique sur son sexe turgescent. Il ne faut pas longtemps pour que la sensation et le spectacle vienne à bout de la retenue du jeune homme qui se répand dans la bouche de sa copine et sur le visage de Laetitia que celle-ci nettoie d’une langue gourmande et échange avec elle l’offrande de cette semence onctueuse…
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27 octobre 2011

Les potes du marié (2)

Il la pousse alors pour qu’elle s’avance un peu. Elle glisse le long de son torse et enjambe son bassin. Elle guide son sexe entre ses lèvres et s’empale doucement sous leurs gémissements respectifs. Elle ondule d’avant en arrière, ses mains posées sur ses cuisses. Il se redresse et remonte ses mains le long de son corps. Il s’empare alors de sa somptueuse poitrine. Ses mains pressent ses seins l’un contre l’autre, en font le tour, repassent entre eux. Puis ses doigts s’affairent sur les boutons de sa robe, les ouvrant un à un et libérant ses seins. Elle se redresse et pose ses mains sur les siennes et l’accompagne dans ses caresses, accentuant les appuis à volonté, ralentissant lorsqu’il passe sur ses mamelons douloureux. Elle quitte alors ses mains et extirpe ses bras de la robe, elle se retrouve avec sa robe autour de la taille et défait son soutien-gorge. Elle repend ses mains et les repose sur ses seins. Puis elle se penche en avant et continue de monter et descendre sur son sexe tendu.
Tout d’un coup, un craquement de branches,  des pas qui s’approchent. Leurs deux amis, ne les voyant pas revenir, avaient décidé de les retrouver. Lui « on se demandait ce que vous faisiez, mais on ne pensait pas qu’on vous dérangerait » Elle « Laetitia, je te savais pas fan des ébats dans la nature… on peut rester ? » Laetitia « C’est plus Éric que ça va gêner » Éric : « non, ça ne me gène pas, au contraire » Laetitia reprend alors ses va et vient sur le sexe de son homme qui avait perdu de la vigueur de par la surprise. Fred et Lisa s’installent donc à leurs côtés. Dans les bras l’un de l’autre, ils s’allongent dans l’herbe fraîche, rattrapant rapidement leurs amis en terme d’accoutrement. Fred défait la jupe de Lisa et l’en débarrasse le temps de le dire tandis qu’elle libère son sexe en descendant son pantalon et son boxer sur ses chevilles. Elle se jette alors sur le sexe de son homme qu’elle se met à sucer avidement. Fred se redresse alors et caresse l’épaule de Laetitia. Elle lui sourit. Sa main descend alors sur son sein, rencontrant celle de son pote qui lui laisse la place. Éric tend alors son bras vers le corps de Lisa qui se rapproche pour qu’il puisse glisser sa main entre ses cuisses. Contournant le tissu de sa culotte de coton, il s’empare du sexe de son amie, y insérant ses doigts inquisiteurs.
Fred se relève alors emmenant avec lui le visage de sa douce qui ne quitte pas son membre tendu. Puis il s’approche du visage de Laetitia. Lisa embrasse alors son amie d’un baiser chaste déposé sur ses lèvres qui devient un peu plus torride lorsque Laetitia ouvre ses lèvres, acceptant ce baiser salé au gout du sexe de Fred. Fred approche alors son sexe des visages des deux femmes. Lisa s’en empare et l’avale immédiatement. Puis, elle le quitte et le tend à son amie qui ne se fait pas prier pour l’avaler à son tour. Laetitia attrape la base du sexe de Fred et va et vient dessus tandis que Lisa agrippe sa fesse, y enfonce ses ongles manucurés, elle avance son majeur dans le sillon de son mec, masse délicatement son anneau soyeux. Puis elle lubrifie son doigt et l’y enfonce doucement pendant que sa copine ne cesse d’aspirer sa queue.
A suivre...
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20 octobre 2011

Les potes du marié (1)

Là, ils étaient restés jusqu’à tard à la soirée du mariage, ils n’avaient pas été au « bal » mais avaient joué au « palet » sous un lampadaire avec l’autre couple. Et puis, à un moment, elle lui a proposé d’aller se promener dans le parc. Lui « Ben noooon, on n’a pas fini la partie » Elle, avec un regard torride : « C’est toi qui vois, moi, je vais me balader » Elle tourne les talons et avance doucement vers la prairie boisée dont les troncs des arbres centenaires étaient discrètement éclairés. L’amie de son pote, lui dit : « c’est pas grave, je prends ta place » Il lui laisse ses palets et court la rejoindre. Il passe son bras autour de ses épaules, elle autour de sa taille. Ils s’enfoncent dans l’obscurité protectrice de la nuit. Le temps est doux et l’herbe pas encore humide de rosée. Elle décide de s’asseoir, les yeux tournés vers la prairie éclairée. Il s’assoit à côté d’elle. Elle se blottit contre lui, posant sa main sur son torse. Puis elle descend sa main et défait un à un les boutons de sa chemise pour passer sa main contre sa peau. Il frissonne de plaisir. Il la connaît, il sait qu’elle est excitée, elle l’est tout le temps et il n’a pas autant d’envies qu’elle d’habitude, mais là, son maquillage, son parfum auquel s’ajoute les fragrances de son désir, sa robe courte et décolletée, laissant parfois apparaître le liseré de son soutien-gorge pourpre, sa main fraîche contre son torse, il ne va pas l’arrêter dans ses caresses. Il ne va pas non plus l’arrêter lorsqu’elle va commencer à ouvrir son pantalon et insérer sa main dans son caleçon pour y découvrir, avec satisfaction, une verge qui commence à se tendre dans de belles proportions. Elle dénude son bassin et il se retrouve les fesses nues dans l’herbe fraîche. Mais cette fraîcheur n’entame en rien sa vigueur parce que sa dulcinée commence à faire monter et descendre sa main sur son sexe. D’un coude, elle le pousse à s’allonger et elle approche sa bouche de son gland lubrifié. Elle lape les premières gouttes de son désir et descend sa langue le long de la tige chaude. Elle attrape ses bourses entre ses lèvres, retient la peau entre ses dents, aspire ses boules en les suçant une à une. Il gémit de plaisir. Puis elle remonte le long de cette tige de plus en plus dure. Elle presse l’entrée de ses lèvres avec le gland toujours humide et force elle-même l’entrée en gardant ses lèvres un peu serrées. Il gémit tout le long de sa descente. Jusqu’à de que son gland flirte avec sa glotte. Puis elle le ressort en l’aspirant. Pas complètement. Elle maintient l’extrémité dans sa bouche, joue avec sa langue, ses joues, ses dents puis redescend doucement, sa main fixe à la base de ce membre qu’elle affectionne tant, malaxant de ses doigts ses couilles gonflées. Puis elle se met à monter et descendre sur sa verge. Sa main suivant parfois ses lèvres, ou en prenant le relai tandis qu’elle aspire ce gland brillant. Il gémit à chaque descente et commence à poser ses mains dans ses cheveux pour suivre le mouvement. Puis ses mains descendent dans son dos, caressent ses reins et descendent sur ton cul. Elle change de position et se met à genoux à côté de lui, sa croupe remontée à sa portée, sans quitter de ses lèvres son sexe tendu.
Ses mains passent sous sa robe et se posent sur son fessier nu. Il agrippe ses fesses, enfonce son pouce dans le sillon qui cache la lanière de tissu de son sous-vêtement minimaliste. De son pouce, il écarte le tissu et passe sa main sous la lanière. Il remonte la jupe de son autre main, libérant à la fraîcheur de l’air ambiant, son séant frissonnant. Il passe sa main entre ses cuisses qui s’écartent pour qu’il atteigne son sexe odorant. Ses doigts se perdent dans sa toison et entre ses lèvres entrouvertes. Elle soupire quand il les atteint. Elle quitte son sexe un instant de ses mains fraîches pour quitter son string et remonter sa jupe sur ses hanches. Puis elle enjambe son visage et approche ses lèvres de sa bouche gourmande. Sans que ses lèvres ne desserrent son membre palpitant, elle se laisse descendre sur son visage, écartant ses cuisses à l’extrême pour ne pas qu’il ait à se froisser une vertèbre pour lui donner du plaisir. Il ne se fait pas prier et embrasse goulument son sexe inondé. Ses mains malaxent ses fesses tandis que sa langue se perd entre ses lèvres et dans son antre béant. Ses gestes, à elle, se font alors moins précis tant il met du cœur à l’ouvrage et tant il sait comment utiliser sa langue et ses lèvres sur les lèvres intimes de sa compagne. Elle est d’ailleurs obligée de sortir le sexe de son homme de sa bouche tant l’air lui manque. Elle se redresse en gardant sa croupe à la portée de la bouche qui la lèche en profondeur, une main posée sur sa cuisse, l’autre montant et descendant rapidement sur son sexe.
A suivre ...
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16 octobre 2011

Le dossier caché (fin)

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Elle se dégagea des sexes qui la foraient et se redressa. Elle tira Thierry de son fauteuil et, d’un pied, elle écarta un dossier ouvert sur le sol. Elle le fit s’asseoir. Remontant ses cheveux sur son épaule, elle s’installa sur lui, retira son top et attira son visage entre ses seins. Thierry s’empara de ses fesses et les guida au dessus de son sexe. Elle s’empala doucement sur la verge tendue en son honneur dans un gémissement de plaisir. D’une main, elle le repoussa pour qu’il s’allonge et se retourna vers moi. Elle m’attira et défit ma ceinture pour me débarrasser de mon pantalon. Elle m’attira plus encore et m’enfonça dans sa gorge tout en ondulant sur le sexe de notre ami. Nous gémissions en chœur dans le bureau de mon collègue quand le téléphone sonna. Nous nous arrêtâmes un instant et éclatâmes de rire, j’attrapai le combiné et l’envoyai à Thierry. « Oui ? répondit-il gêné tandis que Mathilde continuait de monter et descendre doucement sur son sexe pour ne pas que sa vigueur ne retombe. Tu peux lui demander de rappeler plus tard… non, dis-lui que je le rappelle, je suis en réunion avec Will et Mathilde. » Puis il raccrocha et, s’adressant à Mathilde : « c’est Bernstein, il veut savoir où on en est…
-  Ben on en est au meilleur moment, je crois », lui répondit-elle en s’enfonçant à nouveau sur son sexe. J’attrapai alors sa nuque pour guider à nouveau mon sexe entre ses lèvres. Les mains en appui sur le torse musclé de mon collègue, elle ondulait du bassin tout en acceptant mes va et vient entre ses lèvres.
Thierry commençait à montrer des signes avant-coureurs de son plaisir approchant. Mathilde se releva et vint contre moi. Elle m’embrassa en passant ses mains sur mes fesses. Puis elle m’attira avec elle contre le bureau recouvert de documents plus ou moins importants. Je jaugeai le regard de Thierry lorsque j’écartai sans ménagement les documents pour allonger Mathilde au milieu. Je sentis un brin d’embêtement mais il oublia vite et fit le tour du bureau pour se trouver de l’autre côté. Mathilde s’allongea, remonta ses cuisses dans mon dos alors que mon sexe s’enfonçait à nouveau en elle. La tête en arrière, elle s’empara du membre de Thierry qu’elle caressa et mit dans sa bouche de feu. Thierry malaxait avec fougue la poitrine tendue de la jeune fille qu’il avait dénudée en remontant top et soutien gorge sous le cou de la demoiselle. Moi, je soutenais son bassin dans lequel j’allais et venais avec un plaisir dont je luttais pour retenir les gémissements.
Thierry avait un fauteuil qu’on pouvait qualifier de « fauteuil de ministre » et cette partie du mobilier fut le réceptacle de notre partie de jambe en l’air. Thierry se retrouva à sa place de chef, Mathilde sur ses genoux empalée sur son sexe de plus en plus tendu. J’actionnai la manette qui faisait s’allonger le fauteuil pour mettre à ma portée le cul de notre brune. Pendant qu’elle montait et descendait sur la tige de mon ami, je caressais son dos, son ventre, ses seins, ses reins, pour descendre entre ses fesses. Je mouillai mon index et massai tendrement son œillet brun. La demoiselle gémit doucement de plaisir. Elle se pencha plus encore pour que j’approfondisse mon investigation de ses fondements. Elle ondulait non seulement sur le sexe de Thierry mais aussi sur mon doigt qui s’enfonçait toujours plus profondément entre ses reins. Je fis couler ma salive dans le bas de son dos. Le filet emprunta le chemin du sillon humide de sueur. Cette lubrification me permit d’oser un second doigt afin de, délicatement, dilater ce muscle d’habitude réticent à cet exercice. Ses gémissements se transformèrent en soupirs profonds. Je poursuivais mes va et vient alors qu’elle s’était arrêtée d’onduler sur notre collègue. Alimentant de salive ma lubrification, j’allais et venais de plus en plus aisément entre ses reins, à mesure qu’elle se détendait. J’enjambais alors les genoux de mon collègue et guidai mon sexe à la place abandonnée par mes doigts. Mouillant à nouveau abondamment son anneau soyeux, je plaçai mon gland à son entrée. Elle nous intima « Allez-y doucement, les gars. Je fais du cheval, mais d’habitude, je monte un seul étalon.
- C’est toi qui guide, lui soufflai-je » Je maintins la pression et la laissai reculer à ma rencontre. Thierry restait immobile. Elle quitta son sexe pour guider le mien. Poussant doucement, son anneau se détendit et m’accepta doucement, m’avalant presque entièrement dans l’infinie douceur de son cul. Thierry repris sa place entre ses lèvres et, sans quitter ma queue, s’empala à nouveau sur la sienne. Elle ondula alors du bassin, d’avant en arrière, faisant alternativement entrer et sortir nos sexes de ses orifices affamés. Agrippé à ses hanches, Thierry à ses seins, nous accentuions les pénétrations chacun notre tour, pour donner à son cul une allure de moteur deux-temps, dont le régime allait en accélérant. De plus en plus rapidement, de plus en plus profondément, nous menions l’assaut de son corps. Elle se mordait les lèvres pour contenir ses gémissements qui nous arrivaient par des bruits de gorge étouffés. Puis son corps se mit à trembler de tout côté. Nous maintînmes son corps entre nos mains et accélérâmes la cadence de nos reins jusqu’à l’extase finale nous submergeant quasiment simultanément et inondant de nos semences les abysses de notre amante d’un instant.
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13 octobre 2011

Le dossier caché (1)

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J’avais un dossier à aller chercher dans le bureau de mon collègue, sa porte était fermée, mais je frappais discrètement pour savoir si je pouvais déranger. On m’invita à entrer. Thierry, mon collègue était en train de valider des projets avec Mathilde, une grande brune aux cheveux longs et au corps superbe. Je leur indiquais la raison de mon intervention et Thierry m’invitais à ne pas hésiter à venir prendre ce que je voulais récupérer. Pendant que je récupérais mes données, Mathilde reprenait sa position, les coudes posés sur le bureau de Thierry, consultant, avec lui, un tableau sur son écran.
Je ne pus m’empêcher d’admirer le cul splendide de la jeune femme que recouvrait un pantacourt blanc, dont la transparence laissait deviner le string bleu-marine qui dessinait le sillon de ses fesses somptueuses. Je m’approchai d’eux et lui demandai « C’est un mode de vie pour toi ? ou tu t’habilles sexy dans une intention particulière ? » Interloquée par ma demande et un brin rougissante, elle me répondit « Non, j’aime bien plaire, c’est tout et je constate par ta remarque que tu y es sensible.
-  Et comment, lui répondis-je, vas-y repose tes coudes sur le bureau pour voir » Elle s’exécutait en gardant un regard sur sa chute de reins, devant le regard abasourdi de mon collègue. N’écoutant que mon audace, je posai ma paume sur sa taille dénudée par la remontée de son haut, réchauffant sa peau fraîche qui s’hérissait sous la caresse de ma main qui s’aventurait dans son dos. Bouche bée, Thierry observait la scène. Ma main descendit alors le long de ses fesses, mon pouce suivant la ligne de tissus dans ce sillon qui m’attirait. Puis elle s’insinua entre ses cuisses qui s’écartèrent légèrement. La pièce s’emplit alors d’une atmosphère lourde et moite. Thierry profita de ce moment pour s’écarter : « Bon, ben moi, je vais pas vous déranger plus longtemps
-  Non, reste, lui souffla-t-elle
-  Ben oui, reste, insistai-je, un sourire complice aux lèvres, puisque c’est la dame qui te le demande. » Thierry se rassit dans son fauteuil alors que je poursuivais ma caresses de l’entrejambe de Mathilde. Ma main contourna ses hanches pour ouvrir son pantacourt et l’en débarrasser, nous gratifiant du spectacle de son cul nu au milieu de son bureau, remonté par des escarpins. J’écartai alors le tissu pour dénuder son sillon et laisser libre court à mes doigts entre ses lèvres déjà trempées. Mon autre main remontait dans son dos, mes doigts s’enfonçaient dans sa chevelure noire. Elle laissait aller sa tête sous les caresses de mes doigts dans sa nuque et ondulait des hanches sous les caresses de mes doigts entres ses cuisses. M’emparant délicatement de sa chevelure, je la fis se redresser et se rapprocher de mon collègue. Elle ne tarda pas à s’attaquer à la fermeture de son pantalon. Il amorça un geste de recul. Mais elle le retint et, ayant ouvert son pantalon, s’empara de son sexe déjà tendu par la situation. Elle fondit alors dessus, l’enrobant de ses lèvres tout d’abord tout en l’aidant à faire descendre pantalon et boxer à ses pieds. Emporté par l’excitation, sa réticence disparut et il se laissa aller aux caresses buccales de notre charmante collègue.
Je l’écartai alors du bureau et la débarrassai de son string. Puis je m’agenouillai derrière elle et enfonçai mon visage entre ses fesses, lapant de toute ma langue son sexe lisse et inondé. Elle gémit sous la caresse et cambra plus encore ses reins frissonnants. Je posai mes mains sur ses fesses pour en écarter encore plus les globes, mon nez flirtant avec son œillet brun, ma langue s’insérant entre ses lèvres et tournoyant sur son bourgeon gonflé. Thierry avait enfoncé une main dans ses cheveux et suivait le mouvement de sa tête sur son sexe tendu, tandis que, de l’autre, il caressait sa poitrine.
J’ouvrai alors mon pantalon et dégageai mon sexe engourdi par l’étroitesse de sa prison textile. Je me redressai dans son dos et guidai ma verge entre ses cuisses. Elle ondula doucement pour caresser mon gland de ses lèvres brûlantes. Puis, doucement, je m’enfonçai en elle. Elle gémit, étouffée par le sexe de Thierry qui emplissait sa gorge. Agrippé à ses fesses j’allais et venais profondément en elle en admirant sa croupe qui m’avalait.
A suivre...
9 septembre 2011

L'autostoppeuse

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Dans ma profession, je me promène beaucoup en voiture et je croise pas mal d'autostoppeurs, mais peu qui aillent vers une destination que je puisse honorer.

Un jour, il y en avait une qui faisait du stop au péage et elle n’est pas venue jusqu’à ma voiture, et j’ai un peu regretté… en même temps, je ne sais pas ce que j’aurais fait… c’était peut-être une tueuse en série, une mante religieuse… ;op ou la fille de la chanson de Renan Luce qui voulait aller à Nantes…

Mais bon, j’imagine qu’elle aurait pu vouloir être reconnaissante de la « prendre » dans ma voiture. Après plusieurs dizaines de kilomètres de discussion sur tout et rien, la météo, la situation professionnelle de chacun, la situation personnelle, nous aurions pu dériver sur le sexe. Moi, lui disant que je fantasmais souvent sur le fait de prendre un jour une autostoppeuse un peu lubrique et elle, me répondant qu’elle fantasmait sur une aventure avec un inconnu séduisant.

Prenant ce compliment pour moi, j’aurais alors posé ma main sur son jeans. Elle n’aurait pas repoussé ma main et n’aurait pas non plus bougé lorsque ma main serait remontée entre ses cuisses. Soutenant mon regard tout ce temps, elle aurait elle aussi posé sa main sur ma cuisse et serait remontée entre mes jambes, jaugeant l’afflux du sang dans mes corps caverneux. Partagé entre sa main et la route, j’aurais alors cherché la prochaine aire disponible pour poursuivre cette aventure. Le panneau m’indiquant qu’elle s’annonçait à 20 km , ne ferait que m’exciter d’avantage, me demandant comment j’allais pouvoir attendre tout ce temps. Elle aurait souri lorsque la voiture se serait mise à accélérer. Elle aurait ri en me disant que se serait dommage de prendre une prune pour excès de vitesse et qu’elle n’avait pas besoin, elle, de regarder la route. Je lui aurais alors souri à mon tour et aurait repris la route des yeux.

J’aurais alors senti ses mains s’occuper de ma ceinture, défaire mon pantalon et s’attaquer à mon boxer. J’aurais soulevé le bassin pour qu’elle dénude mon sexe et qu’elle le prenne entres ses mains douces et fraîches. Elle m’aurait caressé doucement, la paume de sa main tournoyant sur mon gland. Puis elle se serait penchée entre moi et mon volant pour remplacer sa main de ses lèvres brûlantes. L’envie de la regarder aurait été insoutenable et les kilomètres ne défilaient pas. La coquine aurait été tellement habile que j’aurais été obligé de la faire ralentir pour ne pas jouir prématurément au fond de sa gorge. J’en aurais d’ailleurs profité pour glisser ma main dans son dos et descendre entre ses fesses que j’aurais pétries avec envie.

Elle serait alors redressée, adossée au fond de son siège. Elle aurait défait la grosse ceinture de son jeans, l’aurait ouvert et quitté, me dévoilant son string transparent laissant deviner la fine toison qui couvre ton pubis. Puis elle aurait légèrement écarté le carré de tissu et y aurait inséré ses doigts. M’exhibant son sexe qu’elle malmènerait réfugiée derrière ses yeux mi-clos. Elle aurait rouvert ses yeux en entendant le clignotant cliqueter, lui indiquant l’accès à cette aire de repos tant attendue. J’aurais alors garé mon véhicule à l’écart de l’activité restreinte sur cette aire, aurait détaché ma ceinture de sécurité et la sienne.

Puis je me serais approché d’elle, l’aurait embrassée se serait descendu dans son cou. Mes mains se seraient glissées sous son pull et seraient remontées sur sa poitrine plus opulente que sa tenue ne le laissait croire. J’aurais immédiatement cherché à dégrafer son soutien gorge pour retrouver le contact de nos peaux sur sa chair tendue. Sa main aurait retrouvé mon sexe et le caresserait avec vigueur. J’aurais alors écarté sa main pour plonger entre ses cuisses et me rassasier à sa source intime et abondante. Ses mains se seraient alors rejointes dans mes cheveux et mes mains sur sous son pull remonté sur son ventre. D’un coup de hanche, elle m’aurait fait me redresser. Elle se serait emparée de son sac et en aurait sorti un préservatif qu’elle aurait, d’un geste habile, sorti de son étui et déroulé sur mon sexe tendu. Ensuite, elle serait venue se placer entre moi et le volant. L’espace étant restreint et après un fou rire passager, nous aurions rejoint le fauteuil passager, mon sexe contre le sien, dans une contorsion digne d’un numéro du Grand Cabaret de Patrick Sébastien. Elle aurait ondulé du bassin pour me guider en elle et se serait empalée doucement sur moi. La buée sur les vitres aurait parfait le remake de Titanic et les mouvements de la voiture auraient pu intriguer plus d’un badaud. Elle se serait débarrassée de son pull pour me serrer contres ses seins. Mes mains entre ses fesses caressant ardemment sono œillet palpitant, j’aurais accentué ses ondulations de quelque coup de reins profond. Ses gémissements s’accélérant, nous aurions atteint l’orgasme quasi-simultanément dans un duo de râles de satisfaction. Dans un silence quasi-religieux, nous nous serions rhabillés, reconnaissants l’un envers l’autre.

Nous aurions repris la route sans vraiment faire allusion à cette parenthèse enchantée. Je l’aurais rapproché au plus près de son point de chute, lui proposant mon numéro en sachant très bien qu’elle ne le prendrait pas. Elle m’aurait alors quitté en m’embrassant chastement sur la joue et je l’aurais regardé partir, dans une démarche gracieuse et assurée, admirant une dernière fois son joli cul. ;op

2 septembre 2011

Pause déjeuner

Pic - 042Midi, je suis seul... J’aurais bien imaginé retrouver Léa en train de préparer la table du repas, passer mes mains autour de sa taille et l’embrasser dans le cou, lui demander comment s’est passée sa matinée. Puis mes mains remontraient sur ses seins. Elle laisserait aller sa tête en arrière sous les baisers que je disséminerais sur son cou. Son bassin irait à la rencontre du mien, elle ondulerait pour caresser ma queue avec le sillon de ses fesses tant elle sait que j’aime ça.
Mes mains descendraient sur ses cuisses et remontraient dans son entrejambe. Je déferais son jeans et plongerais mes deux mains dans sa culotte pour aller retrouver son minou tondu à mon intention. Puis je la retournerais, posant ses fesses sur le rebord de la table, l’embrasserait chaleureusement en pétrissant ses seins. Je remontrais son haut et accèderais à sa peau. Je sucerais ses tétons érigés en faisant passer son pantalon et sa culotte sur ses hanches.
Puis je la ferais s’asseoir sur la table, dégagerais d’une main les assiettes mises (c’est pas grave, car d’un clin d’œil magique, je les fais retrouver leur place sur le plan de travail, comme neuves… c’est bien d’être le scénariste et l’acteur parce qu’on fait ce qu’on veut) Mais ça, elle ne le voit pas, ce qui l’a excité, c’est cette bestialité subite, alors je poursuis, la couche sur la table.
Elle attrape ma ceinture et défait mon pantalon. Je me penche sur elle embrasse son cou, ses seins, son ventre, son pubis ou je m’attarde, remontant ses cuisses sur mes épaules. Puis je plonge entre les lèvres de son sexe inondé, recueille sa liqueur sur ma langue et m’en délecte. J’embrasse goulûment son clitoris dressé et imprime de doux va et vient de ma langue dans sa fente. Puis, je me redresse, ses chevilles sur mes épaules. Je pose mon sexe sur sa fente et caresse son clito en va et vient extérieur. Elle remonte son bassin et mon sexe entre naturellement dans le sien dans un soupir de plaisir partagé. Je vais et je viens, entre ses reins, je vais et je viens et je la rejoins. J’attrape mon sexe trempé de sa liqueur, pousse sur ses jambes pour que son bassin remonte et que ma queue se présente aussi naturellement à l’entrée de ses fesses. Et tout aussi doucement, j’entre par la porte de derrière dans son antre, dans ses entrailles… Je la fore profondément, doucement. J’attrape ses chevilles, les pousse vers elle, impudique, elle porte sa main sur son sexe et caresse sa fente de ses doigts excités. Je regarde mon sexe pénétrer son cul, aller et venir en elle, j’accélère sensiblement, puis de plus en plus fort, de plus en plus rapidement. Elle halète et gémis de plaisir, les cercles qu’elle imprime sur son sexe suivent mes coups de reins, elle jouit, fort, longtemps et sous ses cris, je me laisse aller entre ses fesses, en de longues giclées épaisses. Je me retire, embrasse ses lèvres, ses seins et son sexe...
29 août 2011

J'aimerais savoir...

Girl 195

(photo vue sur internet)

Est-ce que, dès son arrivée après une journée harassante, tu lui prépares quelque menu bien orienté ?

Un cheminement de bougies jusqu’à ta chambre, où tu l’attends, lascive, dans un déshabillé rouge transparent, révélant tes dessous sexy, soutien gorge de dentelle noire et string minimaliste assorti, porte-jarretelles et bas soulignant les courbes de ton corps affamé ?

Est-ce que, le dévisageant sur le pas de la porte, la bouche bée devant un tel spectacle, illuminé des bougies et spots qui donnent à la scène une lumière chaude et intime, tu l’invites à s’approcher de ton lit ?
Est-ce que, lorsqu’il s’apprête à monter sur le lit, tu le stoppes, le laisses debout devant toi, défais sa ceinture, descends son jeans, libères son sexe encore tout étonné de cet accueil plus que chaleureux par les météo actuelles ?
Est-ce que, d’une main habile, tu redonnes de la vigueur à ce membre, en embrasses le bout délicatement, joues de ta langue sur ses moindres reliefs, te délectes du plaisir qui perle déjà ?
Est-ce que tu serres sa queue entre tes doigts, tends la peau à l’extrême, attrapes ses bourses et avales son gland turgescent sous ses soupirs de plaisir ?
Est-ce que tu joues alors de ta bouche sur ce sexe auquel tu as pensé toute la journée, l’aspires et le suces profondément, montes et descends ta main sur son chibre qui grossit de plus en plus ?
Est-ce que, ce membre dressé à souhait, tu l’invites ensuite à s’allonger sur le lit, sans le défaire plus encore de ses habits, juste en défaisant les boutons de sa chemisette pour caresser sa poitrine et son ventre ?
Est-ce que, écartant ces sous-vêtements sexy mais encombrants, tu l’enjambes et guides son sexe contre le tiens, caresses ton clitoris de son gland lubrifié de ta salive et t’empales sur lui dans un râle de plaisir inespéré ?
Est-ce que ton bassin prend alors un rythme effréné, telles les turbines d’une locomotive à vapeur démarrant de la gare du désir en direction du 7ème ciel (oui, une locomotive volante) sur les rails du plaisir ?
Est-ce que tes ongles s’accrochent à sa poitrine ?
Est-ce que tu guides ses mains sur tes seins qu’il empoigne avec la fougue qu’il connaît ?
Est-ce que tu les laisses descendre, pétrir tes fesses et s’insérer dans leur sillon pour agacer ton anneau secret ?
Est-ce que, sur son invitation, tu te retournes et l’enjambe à nouveau, en lui montrant ton dos, remontant ses mains sur tes seins et reprenant le rythme sur sa queue palpitante ?
Est-ce que tu glisses une main entre ses cuisses pour caresser et malaxer ses couilles, tout en caressant ton clitoris gonflé d’un pouce habile ?
Est-ce qu’alors, il te fait basculer sur le flanc, sans quitter l’étau de ton sexe et maintien tes cuisses écartées de sa main puissante ?
Est-ce qu’il te fore puissamment, son autre main pétrissant la chair de ton sein ?
Est-ce que, habitée par un esprit diabolique, tu guides alors son sexe à la porte de tes reins, lui offrant cet étau de velours si peu fréquemment offert ?
Est-ce qu’il prend alors le temps de te pénétrer délicatement, toujours plus profondément ?
Est-ce qu’il reprend alors le rythme de ses à-coups dans ton cul ?
Est-ce que tu descends une main sur ton sexe et en malmènes les chairs de tes doigts enfiévrés ?
Est-ce qu’alors, submergés par tous ces stimuli de plaisir, l’orgasme vous envahit dans une vague déferlante, vous emmenant tous les deux sur les plages du plaisir, échoués mais heureux de la découverte de cette ile magnifique ?
J’aimerais savoir…
3 août 2011

Le serveur

Imagine-toi, dans ton canapé.

Le serveur du bar qui avait pris ton contact pour un appel t’avait proposé de te ramener chez toi, vu que la fourrière avait embarqué ta Clio (oui, lectrice, je t’imagine en Clio) Charmée par ses manières, tu lui avais proposé de prendre un café (parce qu’un verre en plein milieu de l’après-midi, ça faisait un peu louche).

Il s’était assis sur le pouf de l’autre côté de la table basse et vous aviez, dans un silence pesant, dégusté votre Nespresso (Ben oui, quoi d’autre ?) Puis, maladroit, il t’avait lancé « vous êtes très belle » Tu avais rougi devant ces compliments, mais n’avait pas répondu. Puis il s’était levé et était venu s’asseoir à tes côtés. Il avait posé une main sur ton genou, main que tu n’avais pas repoussée. A présent, sa main remontait entre tes jambes, en cercles langoureux. Pour lui signifier ton agrément, s’il n’avait pas compris, tu avais légèrement écarté tes cuisses pour lui laisser juste le passage de sa main vers tes dessous qui s’humidifiaient.

Lorsque sa main avait atteint le tissu de ton string de dentelle, tu t’étais laissée aller en arrière dans ton canapé, les pieds toujours au sol mais de plus en plus écartés. Il passe alors son bras sous ton cou et approche son visage du tien. Il te vole un baiser furtif. Tes lèvres appellent à son retour, mais il descend sur ta gorge.

Sa main a quitté ton entrecuisse malgré l’expression de ta déception passagère et remonte à présent vers ta poitrine dressée. Il masse la chair de ton sein et caresse du pouce le mamelon durci, pointant à travers ton débardeur. Sa main contourne à présent ce haut encombrant et passe entre ton soutien gorge et ta peau pour empoigner ta poitrine avec vigueur. Son bras en appui dans ton cou descend dans ton dos pour, d’une main experte, faire sauter l’attache qui empêche son autre main d’exprimer son envie de t’étreindre. Tu te redresses légèrement et les bras en croix, fais voler ces remparts aux contacts de vos peaux.

Tu poses alors ta main entre ses cuisses pour apprécier la vigueur de la bête qui rôde. Sa force t’impressionne. Tu veux la libérer. Tu t’empares du cordon de coton qui maintien son pantalon en lin, défais le nœud et glisses ta main sous le tissu pour attraper l’animal. Il palpite dans ta main. Tu ne peux refréner une envie d’aller et venir dessus, de le branler et faire durcir encore ce qui ressemble à un sceptre de marbre chaud. Son visage à glissé sur ton sein qu’il tète avec gourmandise tandis que sa main a repris place entre tes cuisses.

Ses doigts sont passés sous le carré de dentelle et caressent ton pubis fraichement tondu. Ses doigts se glissent dans la fente de ton sexe. Ton bassin s’avance pour lui laisser le passage. Le rouge à tes joues ne peut plus préjuger de ton excitation ou de ta gêne. Tu t’imagines regarder la scène, depuis l’autre bout de la pièce, outrée. De te voir entre les doigts d’un illustre inconnu. Mais ton désir fait taire cette petite voix d’un grand coup de gourdin sur la tête.

Et tu te redresses pour libérer le sexe de cet homme. Il se met debout face à toi. Tu fais descendre fébrilement son pantalon, son boxer, il t’aide à s’en libérer. Il quitte sa chemise et le voilà, nu comme un vers, beau comme un dieu, le sceptre dressé sous tes yeux. Tu l’empoignes et le branles vigoureusement. Tu l’enfonces entre tes lèvres comme si tu n’avais pas mangé depuis des mois. Tu le suces et l’aspires avec avidité.

Mais ton désir est ailleurs. Tu remontes tes mains sur ses épaules et l’invite à s’accroupir à son tour. Tu l’embrasses et t’allonges à nouveau sur le canapé. Tu poses tes pieds sur la table basse et l’invites entre tes cuisses. Il écarte le string revenu dans le pli de ton sexe et embrasse tes lèvres avec douceur. Il titille tes lèves du bout de sa langue, recueille ton désir et l’étale sur ton sexe en émoi. Puis sa bouche prend en main le bouton de ton plaisir, celui que tu malmènes de tes doigts mouillés dans tes soirées de solitude, face à l’écran froid de ton ordinateur.

Aujourd’hui tu voulais du vrai, de la chair, d’autres plaisirs. Il passe et repasse sa langue sur ton sexe, entre tes lèvres, à l’entrée de la grotte béante qu’il imagine déjà combler de sa queue tendue. Ses mains, posées à l’intérieur de tes cuisses, les font remonter sur tes épaules. Il humidifie toute ton entrecuisse, il ose même aller dans le sillon de tes fesses, titiller cet œillet brun dans l’attente d’une réaction de ta part, réaction qu’il obtient quand ton bassin sursaute et le guide vers des plaisirs plus conventionnels (pas la première fois, quand même, il faut se connaître avant, c’est mieux)

Puis il se redresse et guide son sexe à l’entrée du tien. Il s’enfonce délicatement. Tu observes son visage, il regarde ton sexe l’avaler. Tu poses tes mains sur ses fesses et l’invite à t’empaler plus profondément encore. Puis son bassin se met à onduler, son sexe va et vient en toi. Tu ressens chaque poussée comme une décharge de plaisir. Il s’enfonce toujours plus profondément avec des soupirs de plaisir. Les mains sur tes hanches, il t’attire à lui, il s’arrête lorsqu’il est aux tréfonds de ton antre. Et il se retire complètement. Ton air interrogé l’amuse. Il prend ta jambe et te fait te retourner. À genoux sur ton canapé, tu lui tends ta croupe. Il relève ta jupe qu’il a tenu à laisser en place, écarte à nouveau l’élastique de ton string et présente à nouveau son sexe à l’entrée du tien. Sans attendre, il te pénètre profondément, encore plus que dans l’autre sens. Tu te sens transpercée. Il va et vient les yeux rivés sur ton cul, les mains ancrées dans tes hanches.

Le visage enfoui dans les coussins de ton canapé, tu attrapes ses mains et les attires à tes seins. Il les empoigne vigoureusement et les palpe frénétiquement de ses doigts habiles. Tu oses porter ta main entre tes cuisses, caresser avec vigueur ton clitoris dressé. Toutes ces caresses t’amènent naturellement au bord du précipice où il te pousse d’un ultime coup de rein. Tu ne peux t’empêcher de crier sous les vagues tu plaisir qui te prend. Tes cris brisent les dernières barrières qui le séparaient de son plaisir. Il jouit en de longues saccades au fond de toi, épris d’un plaisir sans limite. Il s’effondre à tes côtés, essoufflé.

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