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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
7 avril 2012

Le fauteuil

J’imagine bien un fauteuil club, Elle allongée sur le lit le portable à ses côtés, feuilletant les pages de quelque blog coquin et relevant les passages les plus croustillant. Lui, avachi sur son fauteuil, ne dissimulant aucunement la montée du plaisir qui fait se dresser sa verge sous la toile de son pantalon. Elle lui lancerait : « Mais ces récits ont l’air de toucher Monsieur » Il répondrait, taquin « à quoi tu vois ça ? » Elle, féline, descendrait telle une vipère de son lit, rampant à ses pieds et remontant jusqu’à son torse, posant sa poitrine sur le membre prisonnier. « à ça » répondrait elle en appuyant ses seins et en ondulant du bassin pour monter et descendre sur le sexe au bord de l’explosion.
Ses yeux plantés dans ceux de son homme, elle s’apprêterait alors à libérer le sexe tendu. Elle le prendrait dans sa main comme elle prendrait un oiseau blessé, en caressant la peau du bout de ses doigts. Puis, au fur et à mesure, elle appuierait sa caresse, décalottant le gland déjà gonflé de désir. De son pouce, elle étalerait sur la peau sensible, la goutte de liquide qui perlerait. Puis elle descendrait pour humer et passer la pointe de sa langue sur cette peau rutilante. Elle sentirait se dresser plus encore la verge gonflée et lorsque ses lèvres se refermeraient dessus, elle sentirait le sang affluer plus encore.
Puis sa bouche s’empalerait sur le pieu dressé, accentuant au maximum le contact de ses joues et de sa langue sur la chair brûlante. Elle sucerait cette verge comme une friandise, sans perdre une goutte du précieux bonbon. Elle irait et viendrait avec une langueur étourdissante. Le bassin de Monsieur se dresserait pour pénétrer ces lèvres en profondeur à un rythme plus à son aise. Mais elle le maintiendrait en place, les avant-bras posé sur ses aines. Sa main laissée à la base du sexe prendrait alors le rythme de sa bouche. Tournoyant à son tour, montant et descendant à l’amont de ses lèvres, accélérant peu à peu, à la recherche du plaisir de son homme. Elle l’aspirerait, l’humidifierait, le sucerait sans juguler les bruits de succions, ni ses gémissements de plaisir face à la dégustation de sa queue qu’elle aime tant. Il avancerait sa main pour palper sa poitrine à travers le tissu de sa chemise de nuit. Il pénètrerait l’encolure pour obtenir le contact de sa peau, la dureté de son mamelon dressé. Les caresses buccales et manuelles, l’environnement sonore, le toucher de sa peau déclencherait les spasmes qui indiqueraient à Madame que le but est à portée de langue. Dans les esprits, une question. Cette question ne reste pas longtemps sans réponse. Madame accentue encore ses caresses, accélère le rythme. À cette pensée, Monsieur serre dans sa main le sein gonflé et jouit fébrilement au fond de la gorge de Madame qui se délecte du précieux nectar, observant le regard perdu de son homme agonisant de bonheur. 

Fauteuil
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Commentaires
E
impossible de lire... blog rempli de pub de merde... dommage
B
quand tu nous tiens, de lire d'avantage...
M
Joli moment! plein d'envie, de désir et de plaisir.<br /> <br /> J'adore!<br /> <br /> Bisous,
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