Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
23 juin 2009

Ingrid

Ingrid était une superbe rousse d'une trentaine d'année. Clerc chez un notaire parisien, elle n'avait pas souvent d'occasions de sortir et cultivait un univers fantasmagorique pour distraire le quotidien. Elle habitait un appartement luxueux qu'elle avait dégoté au décès d'un notable du secteur dont les droits étaient gérés par l'étude dans laquelle elle travaillait. Elle avait ainsi pu saisir l'affaire avant même qu'elle ne soit sur le marché.

Ce qui l'avait séduite était notamment l'immense salle de bain, décorée dans une ambiance nature agrémentée de plantes et de meubles en bois. Elle était dotée d'une immense baignoire jacuzzi autour de laquelle elle pouvait à loisir disposer des bougies aux senteurs de chèvrefeuille et de patchouli pour détendre ses chairs stressées par la vie parisienne. L'appartement comprenait aussi un balcon avec une vue imprenable sur la ville. Même si elle aimait la nature et les plantes, vivre au cœur d'une grande ville l'avait toujours attirée, elle qui avait grandi au fin fond de la Picardie entre les betteraves et les asperges. Elle aimait regarder le flot de véhicules qui, la nuit, se suivaient en traînées de lumières jaunes et rouges.

Quelques mois avant son achat, elle avait fait la connaissance du voisin de pallier. Il s'agissait d'un médecin généraliste très ami avec le défunt. Il se prénommait Maxime. Ils avaient l'habitude d'aller jouer au tennis ensemble et il regrettait de perdre un partenaire sportif et un ami. Elle avait tenté de lui apporter une parole de réconfort en lui proposant de le remplacer en tant que partenaire de tennis.

Ses tempes grisonnantes et son visage angélique lui avait tout de suite fait un effet impressionnant. Au moment où il avait posé les yeux sur elle, elle s'était sentie fondre de l'intérieur et s'ouvrir ses chairs délaissées. Un frisson l'avait parcourue et elle avait un instant craint qu'il ne s'en aperçoive.

Suite à cette rencontre et au regard de tous les atouts de cet appartement, elle s'était empressée de clore la vente et avait déménagé de son deux pièce boulevard de Clichy en un temps record.

Elle avait longtemps hésité à aller rendre visite à son séduisant voisin et c'est le hasard qui les avait fait se rencontrer dans le rayon surgelé de la supérette du quartier. Ingrid était alors vêtue d'une robe légère qui mettait en valeur ses atouts féminins en ces belles journées d'été mais qui ne la protégeait pas de la température glaciale que propageaient les frigos ouverts. Elle était à la recherche de quelque plat facile à préparer et il l'avait reconnue à l'autre bout du rayon. Elle s'était tout d'abord dit que c'était probablement la présence d'une belle plante qui avait attiré l'attention de ce "quadra", mais elle avait remercié le ciel d'avoir poussé le destin qu'elle n'arrivait pas à provoquer depuis plusieurs semaines.

"Il paraît que c'est bourré de sel et de graisse" avait-il ouvert dans son dos. Elle avait sursauté, surprise que quelqu'un s'adresse à elle dans cette ville d'anonymes.

- oh, bonjour Maxime, lui avait-elle répondu d'un sourire qu'elle avait plus tard pensé un peu trop heureux, oui, je sais, mais c'est pour les soirs où je n'ai pas de courage.

- Mes amis m'appellent Max. Alors, cette installation ? Vous vous plaisez dans le quartier ?

- Oui, c'est charmant. Mais les gens ne discutent pas plus que dans le 18ème.

- Vous m'aviez proposé de vous joindre à moi pour une partie de tennis, je me trompe ?

- Exactement, mais vous savez, il y a longtemps que…

- Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas très doué non plus, l'avait-il rassurée, je passe vous prendre à

14 heures". Puis il avait disparu, et elle était restée quelques instants sans bouger au milieu des plats préparés.

Elle s'était empressée de rentrer et de se préparer. Elle avait revêtu son équipement de tennis composé d'un polo de coton bleu azur qui faisait ressortir celui de ses yeux ainsi que sa poitrine dont les tétons s'érigeaient déjà sous le tissus dessinant de petites bosses difficiles à camoufler, et d'une minijupe plissée blanche. Elle avait relevé ses longs cheveux en une queue de cheval sur le haut de sa tête laissant admirer la grâce de son cou.

Il avait sonné à sa porte à 14 heures pétantes, elle lui avait ouvert, prête à partir, son sac et sa raquette à la main. "On y va ?" lui avait-il dit en admirant sa silhouette élancée et ses jambes qui se perdaient sous sa jupette plissée. Puis ils étaient partis.

Son caractère affirmé lui donnait une volonté qui lui permit de tenir le score toute la partie, mais le manque d'entraînement eut finalement raison d'elle et elle dut renoncer à la victoire de cette partie-ci. Il l'avait félicitée pour son jeu tout en lui avouant qu'il n'était pas facile de se concentrer face à une partenaire aussi belle. Elle ne put contenir le rougissement qui avait teinté ses joues ni le désir s'éveiller en humidifiant un peu plus ses sous-vêtements. Puis il l'avait raccompagnée chez elle.

En bonne voisine, elle lui avait proposé un rafraîchissement qu'il avait accepté. Elle l'invita donc à entrer chez elle et à s'installer dans le salon. Elle servit deux grands verres de thé glacé lui en apporta un et le pria le l'excuser de l'abandonner un instant pour aller se changer. Elle fila dans sa chambre, saisit une petite robe et se faufila dans la salle de bain pour rafraîchir son corps surchauffé par le sport et l'effet que lui produisait son invité. Elle se dénuda, passa ses mains sous l'eau froide et s'en aspergea le visage. Les gouttes qui s'écoulèrent en dessinant les contours de ses formes généreuses firent décupler le désir qui montait en elle depuis sa troublante rencontre de la matinée. Elle enfila rapidement sa robe à même sa peau encore humide.

Elle réapparut dans le salon aussi fraîche que le printemps. Son voisin s'était mis à son aise dans le canapé et feuilletait un numéro de Cosmo spécial maillots de bain. Elle s'installa à ses côtés en lui demandant son avis.

"Je ne suis pas trop connaisseur en lingerie féminine, je préfère sans…

A ces mots, Ingrid pouffa de rire et toussa le thé qu'elle était en train d'ingurgiter qui se répandit sur sa petite robe à fleurs.

« Je suis désolé, lui dit Max en riant, je ne voulais pas…

- Excusez-moi, je vais devoir retourner me changer, lui répondit-elle. »

Max se leva en même temps qu’elle et la retint par le bras. Il l’attira à lui de manière vigoureuse et saisit sa bouche de ses lèvres avides. Ingrid ne refusa pas se baiser passionné. Les mains expertes du médecin descendirent le long de ses hanches et remontèrent le tissu de la robe. Elles se glissèrent dessous et Max put constater l’absence de tout autre vêtement. Il promena ses mains sur ses fesses et remonta sur ses reins. Puis il entreprit de remonter le vêtement complètement. Elle leva les bras pour l’aider, tout en prolongeant le baiser qu’il lui donnait.

Elle déshabilla Max de la même manière, le débarrassant de son T-shirt. Puis elle s’affaira sur la ceinture de son short de sport. Elle humait les fragrances masculines qui émanaient de ce corps brûlant de désir pour elle. Elle glissa ses mains dans son dos et descendit sur ses fesses musclées. Elle écarta les mains et fit descendre son boxer à présent trop étroit. Elle se retrouva face à cette verge dressée en son honneur. Elle leva les yeux et vit son invité la regarder d’un air intéressé. Elle se saisit de ce membre et commença à le caresser du bout des doigts. Elle en dégagea le gland d’où perlait la liqueur de son envie. Elle lapa la goutte et descendit jusqu’à ses couilles gonflées. Elle les embrassa, les lécha puis les suça délicatement tout en imprimant un léger va et vient sur le vit frétillant. Puis elle le prit en bouche avec la douceur qui la caractérisait, en le suçant comme une glace qu’on souhaite savourer. Sa main serrait à présent la verge avec plus de vigueur et son va et vient s’accélérait.

Pour ne pas défaillir trop tôt, Max l’invita à se relever et l’embrassa pour savourer son propre goût sur ses lèvres à elle. Il la saisit par la taille, la souleva et la déposa sur la table en verre du salon. Il remonta ses jambes sur ses épaules et partit à la découverte des saveurs de sa charmante voisine. Il découvrit un nombril orné d’une pierre sous lequel descendait un sexe lisse et odorant. Il embrassa le ventre de la demoiselle et remonta jusqu’à sa poitrine. Elle avait des seins superbes, qui gardaient de leur tenue même lorsqu’elle était allongée. Il les embrassait, titillait de sa langue les tétons endurcis de désir. Comme il se penchait sur elle, elle sentait le membre dressé caresser l’entrée de son intimité. Elle ondulait contre ce contact dans l’espoir d’un coït imminent. Mais Max en avait décidé autrement. Il redescendit et plongea entre les lèvres béantes de son sexe ruisselant. Il se délectait des sa sève intime et caressait de sa langue avide le bouton rosé qui le narguait insolemment.

Puis il la fit descendre de la table la retourna et la fit se pencher en avant. Il remonta la jambe de sa proie sur la table en désordre et replongea entre les fesses toutes à lui abandonnées. Il reprit sa bataille avec le bourgeon dressé et les lèvres humides et remonta sur l’œillet brun qui trônait entre ses fesses somptueuses. Il y inséra une langue inquisitrice qui fit s’échapper un râle de plaisir de sa propriétaire. Il humecta tous les orifices qui s’offraient à lui puis se redressa.

Il saisit à pleine main son sexe dressé et le dirigea entre les lèvres affamées de bite. Il s’y enfonça sans effort et empala sa proie jusqu’à la garde. Il se retira en douceur, se saisit des hanches de la rouquine et la pénétra à nouveau avec force et vigueur.

Il coulissait en elle comme dans du beurre, lui arrachant un cri de plaisir à chaque fois qu’il buttait dans ses tréfonds. Il écarta ses fesses et caressa d’un pouce savant l’anneau intime jusque là ignoré.

« Oui, vas-y, baise moi, j’en ai tant envie, lui lança-t-elle. Enlève ce doigt, mets-moi ta bite, salop…

Max ne se fit pas prier. Il se retira du vagin brûlant et présenta son gland lubrifié à l’entrée des fondements de son hôtesse. Elle imprima un mouvement à la rencontre de ce sexe tant envié et c’est sans difficulté qu’il s’enfonça entre les fesses de la miss. Elle ondula du bassin comme pour lui indiquer la vitesse à prendre. Max attrapa à nouveau ses hanches et la besogna dans un rythme effréné. Elle glissa une main entre ses cuisses et caressa de ses doigts agiles son clitoris gonflé, tout en allant et venant dans son sexe laissé ouvert par le sexe de son amant.

« Oui… vas-y… c’est bon… Encule-moi… Aaaaaah … je jouiiiiiiis»

Max constatait avec plaisir que sa partenaire sportive aimait ponctuer verbalement les échanges. Mais c’est mots eurent raison de sa retenue et c’est en long jets de sperme chauds qu’il se répandit sur le dos de sa voisine.

Ils s’affalèrent tous les deux dans le canapé, elle se blottit dans ses bras.

 

Après une douche réparatrice des maltraitances musculaires qu’ils venaient de subir, ils se retrouvèrent autour d’un autre thé glacé

« Tu sais, je n’ai pas un tempérament à vivre une liaison suivie, lui indiqua-t-il, alors…

- Ne t’inquiète pas, je n’attends rien de toi… on est voisins, il est important de garder de bons rapports avec son voisinage. »

Ingrid lui sourit d’un air complice. Max lui rendit son sourire.

« Et je n’aime pas perdre, s’enquit-elle, j’ai une revanche à prendre… au tennis, je veux dire.

- Vous aurez votre revanche, comptez sur moi, au tennis entre autre. » Et il accompagna sa réponse d’un clin d’œil malin.

A suivre...

20090317213224_518736419834

 

Publicité
Commentaires
M
Effectivement c'est très excitant d'avoir ce genre de voisin/voisine...et surtout pratique!<br /> Et puis comme c'est très bien dit: "il faut toujours garder de bon rapports avec son voisinage"...;D<br /> Ingrid est libre et disposée et apparemment a trouvé un bon camarade de jeu, ou dois je dire initiateur.<br /> Vite la suite ...
Publicité
Derniers commentaires
Publicité