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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
1 juin 2009

Midi 45

Midi quarante-cinq

Le rush à la brasserie.


J'attends déjà depuis quelques minutes lorsqu’entre une jolie petite brune. Elle cherche le serveur du regard, rencontre le mien. Un sourire. Puis le serveur arrive. "C'est pour manger ? Une personne ?" Le serveur lui propose plusieurs tables dont celle qui se trouve à côté de la mienne. Elle choisit celle ci et demande les toilettes pour s'y laver les mains. Le serveur lui en indique la direction. Elle s'y rend et revient quelques minutes plus tard.

J'ai commandé depuis plus de vingt minutes maintenant, et le plat n'arrive toujours pas. Elle est assise à côté de moi "vous attendez depuis longtemps ? Me demande-t-elle en souriant" Elle n'a, pour sa part, toujours pas commandé.

Je me noie alors dans son regard vairon. Elle me sourit. Je lui réponds que non, quelques minutes, pour ne pas qu'elle s'impatiente. Je la rassure en lui disant qu'à cette heure, le temps d'attente est souvent plus long.

Le serveur arrive alors et prend sa commande. Pendant l'attente et le repas nous échangeons des banalités sur nos travails respectifs et sur la société de consommation qui ne va pas vers la qualité. Ce point la désole car elle est commerciale pour une marque de cosmétiques bio.

Je me dis intéressé par le concept et elle me propose de me donner des échantillons après le repas que nous terminons rapidement. Je ne prends pas de dessert, elle ne prend pas de café. Nous payons et nous retrouvons dehors. Ses joues roses trahissent son trouble. Elle m'indique la direction de sa voiture pour les échantillons, mais celle-ci ne contient plus des fameux échantillons. Elle me dit alors qu'elle en a dans son sac de voyage qu'elle a laissé à son hôtel.

Devant de contretemps, je la remercie et lui dit de ne pas s'embêter, que ce sera pour une prochaine fois.

Elle insiste, les clients du bio sont difficiles à convaincre de nos jours. Son hôtel est dans une rue à proximité elle m'invite à la suivre.

Nous entrons. Je la suis dans les escaliers sans manquer le spectacle de son petit derrière qui se déhanche sous mes yeux. Elle entre dans la chambre qui sent la vanille et la cannelle. Elle me propose de patienter un instant. Elle va dans la salle de bain et revient avec un petit vanity-case aux couleurs de sa marque. Elle l'ouvre et en sort des soins du visage et du corps. Elle me les tend en me souriant. Je les saisis et les range dans mon sac.

"Ah, j'ai aussi des échantillons de crème dépilatoire, regardez, elle est super efficace" et joignant le geste à la parole, elle pose un pied sur son lit et relève sa jupe sur son genou en me proposant de toucher sa peau. Je m'approche. Son souffle est court. Je pose ma paume chaude sur son mollet refroidi par les températures hivernales du moment. Elle frissonne. Je regarde la chair de poule remonter le long de sa jambe. Sa peau est extrêmement douce. La crème y est-elle pour quelque chose, cela m'indiffère assez, en fait. Ma paume remonte au galbe de son mollet puis sur son genou. Je quitte ma main du regard pour plonger dans le sien. Elle me regarde. Ma main continue de remonter sur la soie de sa peau. Elle ne bronche pas. Ses joues rosissent à nouveau. Ma main a découvert sa cuisse blanche et poursuit vers ses hanches. J'atteins mon but. Je descends le long de sa hanche pour caresser ses fesses habillées d'un string minimaliste. Son visage s'approche du mien. Sa main remonte dans mon dos puis ma nuque. Elle m'attire à elle. Nous nous embrassons fougueusement. Elle se redresse et retire mon T-shirt de mon pantalon et s'attaque à ma ceinture. Je passe mes mains dans son chemisier pour aller dégrafer son soutien gorge. Elle s'écarte et s'en débarrasse. Elle arbore une poitrine admirablement pommée. Ses tétons s'érigent comme de petits sexes. Elle me débarrasse de mon pantalon pendant que je caresse ses seins. Elle s'agenouille à mes pieds et descend mon caleçon. Elle fait face à ma verge tendue de désir. Elle s'en empare délicatement et en décalotte le bout. Son souffle chaud et rapide finit de remplir de sang mon gland explosif. Elle apaise le feu qui l'embrase d'un baiser humide, tout en caressant toute la longueur de mon membre. Elle en lèche le pourtour puis le met dans sa bouche brûlante. Elle l'enfonce avec une douceur infinie. Elle en humecte toute la surface et le ressort brillant. Elle l'aspire à nouveau en accompagnant sa succion d'un savant va et vient de la main. Ce traitement, bien que très agréable, risque d'avoir trop vite raison de ma retenue. Je l'invite à se redresser et reprends sa bouche. En l'embrassant, je défais sa jupe qui tombe à ses pieds. Je passe un bras sous ses jambes et la prends dans mes bras. Puis je la dépose sur son lit. Elle remonte ses jambes pour m'aider à la débarrasser de son dernier vêtement. Je découvre un sexe entièrement épilé à l'exception d'un triangle sur son pubis orné d'un petit tatouage tribal. Son nombril est percé d'un petit diamant qui force l'invitation à y déposer une multitude de baisers. J'embrasse ses seins, son ventre et descend vers son sexe humide et odorant. Elle dégage un parfum de musc qui renforce mon excitation. Je dépose des baisers sur ses lèvres ourlées et glisse ma langue dans sa vulve ouverte. Un soupir de plaisir m'invite à continuer. Elle caresse mes cheveux au rythme des va et vient de ma langue sur son intimité luisante. "Viens" susurre-t-elle. Je remonte sur son ventre, embrasse à nouveau ses seins gonflés, puis son cou. Elle passe alors une jambe par-dessus moi puis se place à califourchon sur mes cuisses. Elle redescend pour poser ses seins autour de mon sexe. Elle les rapproche et retient ma verge entre ses deux globes charnus. Puis elle imprime des va et vient en embrassant mon gland à chaque sortie de cet étau. Puis elle remonte en embrassant mon ventre et mon torse épilé. Elle se redresse, ondule du bassin pour me diriger à l'entrée de son sexe inondé. Elle s'empale alors doucement et me chevauche telle une cavalière émérite. Elle alterne les rythmes lents et rapides en illustrant le tout de soupirs et de geignements plaintifs.

Elle se dégage alors pour me faire mener la danse. Alors que je m'apprêtais à me fondre entre ses cuisses, elle me tourne le dos puis se met à quatre pattes en me faisant à nouveau profiter du spectacle de ses fesses admirables que je découvre également ornées d'un tatouage tribal reprenant le triangle habituellement couvert par son string. Elle guide ma verge entre ses jambes et me laisse la pénétrer. Je sens ses muscles internes se contracter et se détendre à chaque coup de rein. Je sens également que sa main est toujours entre ses jambes et caresse alternativement son sexe et le mien. Le plaisir point. Elle accélère ses caresses et vient à ma rencontre accentuant la pénétration en profondeur et en vitesse. Son corps se raidit alors sur ma verge, l'orgasme m'emporte et je me répands dans son corps. Nous nous affalons sur son lit, je m'endors.

"Monsieur, on ferme, il est quinze heures" le serveur me tend ma note. La brasserie est vide, elle est partie. Je regarde le dos de ma main "06.58.37… appelle-moi…

Girl_031

 

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Commentaires
S
savoureux!
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