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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
4 juin 2009

Alexa (3)

Sa réponse se fit un peu attendre, le message apparu sur son écran : "Tu m'as laissée sur ma faim… égoïste!

– Ce n'est que partie remise… renvoya-t-il

– Des promesses, toujours des promesses…

- Mais c'est quand tu veux, ma grande…"

Un silence assez long et une réponse froide et sèche comme elle en dispensait souvent pour couper court à la conversation : "Je te laisse, j'ai du boulot, un dossier à consulter aux archives, à+"

Alexa n'arrivait pas à calmer le rythme de son cœur. La moiteur de son entrejambe et la fraîcheur que procurait l'air qui passait sous sa jupe, maintenant qu'elle s'était libérée de son sous vêtement, attisait cette excitation. Elle tentait de recouvrer ses esprits dans le travail.

Elle entra dans la salle d'archives. C'était une salle fraîche et sombre, éclairée de faibles ampoules. Des rayonnages remplissaient la pièce et, au fond, derrière ces rayonnages, un bureau avait été improvisé sur des cartons de dossiers entre deux étagères. Elle rechercha le dossier qui la concernait, il se trouvait heureusement à sa hauteur, ses jambes flageolantes n’auraient pas pu lui permettre d’en faire plus. Elle le porta sur le bureau et l'ouvrit.

Les renseignements étaient plutôt compliqués et la faiblesse de l'éclairage l'obligeait à se concentrer. Elle n'entendit donc pas celui qui s'approchait d'elle.

"Tu trouves ?"

Elle sursauta.

"Tu m'as fait peur… oui je tr…" Elle s'interrompit quand elle sentit sa main se poser délicatement sur sa hanche. Toutes ses émotions revinrent en un instant faire remonter le rouge de ses joues. Il descendit alors sa main vers le sillon de ses fesses. "Tu as perdu quelque chose ? " la taquina-t-il. Elle ne répondit pas. Sa main revint vers son ventre et remonta sur ses seins gonflés. Elle posa ses mains sur le bureau de fortune et laissa libre court à cette caresse qu'elle attendait tant « tu vas voir si je suis égoïste, souffla-t-il à son oreille

- Tais-toi », soupira-t-elle.

Il se posta derrière elle et passa son autre main sous le chemisier déjà bien décolleté. Il défit l'attache du soutien gorge et vint empoigner délicatement la frêle poitrine de sa proie haletante. Elle ondulait du bassin le long de son ventre, à la recherche d'une caresse plus intime. Il poursuivit donc sa caresse sur ses seins d'une main puis descendit son autre main le long de ses hanches. Elle cambra ses reins au passage de sa main. Il suivit la courbure des ses fesses admirables et remonta le tissus de sa jupe longue, jusqu'à accéder à sa peau. Là, il passa sa main entière sous le vêtement afin de le remonter complètement sur cette chute de reins offerte. Il fit ensuite le contour de ses arrières bombés tout en titillant les extrémités tendues de ses seins qu’il n’avait pas abandonnés pour autant. Il arriva au sillon humide de ses fesses qu'il suivit en direction de son intimité brûlante et humide. Elle écarta ses jambes. Il s'attarda sur son œillet trop souvent ignoré, y insinua un doigt curieux. Elle lâcha un léger cri de surprise mais ne se dégagea pas de cette caresse inconnue. Heureux de voir que cela lui plaisait, il poursuivit son chemin en direction du cœur de son désir palpitant. Elle écarta ses jambes un peu plus. Il frôla les lèvres gonflées, poursuivit jusqu'au pli de son pubis pour revenir sur son clitoris gonflé. Elle tendit sa croupe plus encore. Il titillait ce bout de chair brûlant de son index lubrifié, allait et venait jusqu'à sa vulve béante. Elle haletait de plus en plus, elle attendait une caresse encore plus profonde.

Elle semblait à l'agonie. Il s'accroupit derrière elle pour tenter d'étancher leurs soifs respectives. Il remonta de sa cheville à l’intérieur de la chair de son mollet et l’invita à poser son genou sur le bureau. Cette position la fit se cambrer encore plus. Il put alors tout à loisir plonger son visage dans ses fesses, il lécha ardemment son sexe ruisselant. Elle geignait de plaisir. Ses signes l'encourageant, il accompagna sa langue d'un doigt qu'il insinua entre ses lèvres. Elle glissait sur ce doigt comme sur un sexe imaginaire qui ne la contentait pas. Elle attrapa sa main pour qu'il se relève. Il obtempéra. Avachie sur son travail, elle attrapa la boucle de sa ceinture, la défit avec une dextérité déconcertante, ouvrit son pantalon et plongea sa main à la recherche du sexe qu'elle avait goûté et qu’elle désirait maintenant au fond d’elle. Il la laissait faire. Elle dégagea le membre de tout vêtement, présenta sa croupe, le rattrapa entre ses jambes pour le diriger à l'orée de son sexe inondé.

A suivre...

Girl_077

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Commentaires
M
Soupirer...je ne peux pas faire autrement que soupirer...et découvrir la suite...vite!
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