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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
29 juin 2009

Ingrid (5)

Julie et Fred accompagnèrent Ingrid à son appartement pour qu'elle prenne quelques affaires. Elle se saisit de son sac de voyage, y engouffra deux trois maillots de bains et quelques affaires. Elle en profita pour se changer dans des vêtements plus seyants pour faire de la route sous le soleil, un mini short moulant, un débardeur en coton qui mettait en valeur ses seins agacés par l'excitation du voyage et de l'inconnu que lui offraient ses hôtes du soir, et sa paire de Converse. Elle noua un élastique autour de ses cheveux, jeta un coup d'œil au miroir du salon pour regarder l'élégance de sa tenue et, satisfaite, elle sortit retrouver le jeune couple.

La route était longue pour rejoindre le Sud de la France, mais le réseau autoroutier, le confort de la voiture de Fred et les goûts musicaux de Julie avaient permis de rendre le voyage des plus agréables. Ils avaient échangé tout au long du voyage sur leurs vies respectives, leurs ambitions, leurs goûts, la musique et bien évidemment le sexe et de libertinage.

Ils s'étaient tour à tour relayés au volant du véhicule pour réduire le temps de trajet et arriver à bon port avant la nuit. Chaque changement de conducteur permettait en même temps de faire tourner le couple à l'arrière du véhicule. Dans les premiers kilomètres, Julie avait indiqué qu'elle ne faisait pas de long voyage à la "place du mort" et s'était installée à l'arrière avec Ingrid. Il n'avait pas fallu longtemps pour que ses mains commencent négligemment à caresser l'intérieur des cuisses de la belle rousse pour dériver finalement à un doigtage en règle, les lèvres rivées à la bouche haletante de sa voisine.

Quand Fred était passé à l'arrière et que Julie avait pris le volant, c'est Julie elle-même qui leur avait soufflé de se rapprocher. Elle avait commencé par vanter les mensurations de son homme et raconter ce qu'elle aimait qu'il lui fasse. Ensuite, alors que le jeune homme était bien excité, elle avait poursuivi sur ce qu'elle aimait lui faire, notamment sur sa technique de fellation. Elle avait alors invité Ingrid à essayer sa technique qui consistait à maintenir le sexe tendu et de coulisser de ses lèvres très lubrifiées sur le membre gonflé. En même temps, elle lui avait indiqué qu'elle s'amusait à lui caresser l'anus pendant la fellation, vantant les mérites du massage de la prostate. Ingrid avait ainsi invité Fred à prendre ses aises, l'avait débarrassé de son bermuda et avait mis à profit les conseils de la brunette. Elle avait abondamment salivé sur la hampe dressée et coulissé sur le membre tout en l'aspirant entre ses joues. Les mains du seul homme du voyage s'étaient perdues dans la chevelure de feu de cette apprentie-suceuse et il n'avait pas tardé à décharger son plaisir dans la bouche d'Ingrid.

Lorsqu’Ingrid s'était mise au volant, les deux tourtereaux avaient multiplié les positions acrobatiques pour agrémenter le voyage le plus possible. Soit Julie chevauchait Fred en lui faisant face, soit en lui tournant le dos, soit elle se retrouvait, ses jambes aux épaules de son homme qui la pénétrait avec entrain.

A l'arrivée au gîte de leurs amis, les trois voyageurs étaient fatigués par leur périple, mais, bien que repus de sexe, toujours très excités. Les senteurs des pins et des bosquets de lavande rendaient à cette arrivée un goût de vacances et de liberté qui mettait tout le monde d'humeur bucolique.

Ils entrèrent dans le gîte en s'annonçant bruyamment, mais personne ne leur répondit. Ils traversèrent la maison jusqu'au jardin et retrouvèrent tous leurs amis autour et dans la piscine. Julie s'occupa des présentations.

Tout d'abord, Voici Etienne, le maître des lieux." Il était d'un châtain éclairci par le soleil et d'une peau naturellement bronzée Il n'était pas très grand mais avait une forte personnalité. Il la mit tout de suite dans le bain : "Je ne suis pas du genre à accepter des invités de dernières minutes, même si la maison est grande, mais avec une paire de seins comme ça, je ne vais pas te mettre dehors…" Ingrid sut plus tard qu'il s'agissait d'un trait d'humour mais elle ne l'apprécia pas à sa juste valeur sur le moment…

A suivre

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Commentaires
M
J'adore l'illustration...
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