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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
1 avril 2010

Serpent-dragon (2)

Fred était venu s’asseoir dans l’un des sièges. Estelle était venue s’installer dans ses bras. Sonia s’était jetée dans l’autre siège je n’avais plus que l’accoudoir pour me poser.

L’actrice était descendue de voiture sur le parking un garage automobile désert. Elle s’était présentée au guichet mais n’avait trouvé personne, elle s’était donc avancée vers les ateliers où bossait un homme d’une quarantaine d’années les mains couvertes de graisse. Il s’était relevé de sous la voiture qu’il réparait en toisant la jeune femme des escarpins aux lunettes de soleil qu’elle n’avait pas jugé bon de retirer dans la pénombre du garage. « Qu’est-ce qui lui arrive à la p’tite dame ? avait demandé le garagiste. La jeune femme avait répondu qu’il y avait un bruit dans son moteur et qu’elle ne savait pas ce que c’était, ça l’inquiétait un peu. Je regardais Fred dont la main se promenait sous le top d’Estelle. Sonia y jeta un coup d’œil, me sourit en jetant aussi un œil à mon entrejambe et se remit à suivre le film, remontant sa jambe sur l’autre accoudoir.

La Jeune femme avait entré son véhicule dans le garage et le garagiste en avait ouvert le capot arrière. Il se penchait sur le moteur en marche en demandant à la conductrice d’appuyer sur l’accélérateur. Il lui demanda ensuite de stopper tout. Elle descendit et il lui dit « c’est la couroi d’alimentation, ma p’tite dame, j’peux vous faire ça dans l’heure, si vous voulez.

- C’est à dire que je suis partie sans argent alors, je ne sais pas comment…

- … c’est peut-être pas un problème, l’avait rassuré le professionnel des grosse cylindrées en posant sa main sur le bras de la demoiselle et l’attirant sur la bosse qui se formait sous sa salopette. La demoiselle, sourit et s’agenouilla devant le garagiste (dont les mains s’étaient lavées à une vitesse surhumaine) elle avait défait les bretelles de la salopette et libéré le membre énorme du garagiste.

« C’est dingue que les scénaristes de films de cul ne cherchent pas un peu plus loin quand même, avais-je glissé à ma voisine de siège, elle aurait pu être un peu plus difficile à convaincre, dans la vraie vie, ça n’arrive jamais, ça.

- C’est peut-être que tu sais pas demander, m’avait-elle répondu.

- Dîtes-moi, ma p’tite dame, lui avais-je répondu en reprenant la façon de parler de l’acteur, vous comptez faire comment pour passer à la caisse ?

- Oh, Monsieur, n’appelez pas la police, avait-elle joué avec moi, ça peut s’arranger, hein ? Puis, joignant les gestes à la parole, elle avait défait mon pantalon et sorti mon sexe de mon boxer. Je jetai rapidement un œil à mon copain qui embrassait sa cavalière à pleine bouche, la main glissée dans son jean.

Sonia me regardait en me branlant doucement et lorsqu’elle capta mon regard, elle m’avala d’un trait. Je contournai alors le fauteuil pour lui permettre une position plus confortable. Je plongeai une main dans ses cheveux profitant du plaisir qu’elle me prodiguait de sa langue experte. D’une main, elle maintenait ma queue entre ses lèvres gourmandes et de l’autre, elle descendait mon pantalon sur mes cuisses pour s’agripper à mes fesses.

A suivre...

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Commentaires
M
J'ai pris du retard , mais j'étais absente ....je reviens vite te lire <br /> <br /> Des baisers
M
Je crois que nous allons toutes et tous aimer la suite...<br /> Pour ma part je suis ravis de ton retour ;-))
L
Quelle attention, quelle concentration dans ce regard!!!!!!
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