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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
22 avril 2010

Serpent-dragon (5)

Girl_186L’assistante du directeur avait bien compris le message envoyé et avait sorti la queue de son patron de son pantalon de toile et la suçait allègrement, accroupie au pied de son fauteuil, une main entre ses jambes, caressant son sexe duquel elle avait écarté la dentelle de son string. Le mec avait une queue énorme et la demoiselle n’arrivait à en avaler qu’une petite moitié. Cela laissait présager une suite des plus douloureuses pour l’actrice, mais bon, on a toujours des trucs chiant à faire à son boulot. Quoi qu’il en soit, elle semblait prendre du plaisir à enfoncer au fond de sa glotte la moitié du sexe de son patron, sans parvenir non plus à en faire complètement le tour avec sa main.

Estelle se mit à onduler sur ma queue à mesure que je la forais. Haletant de plus en plus fort, étouffée par la queue de mon ami. Fred se glissa sous la belle et la lécha. Elle écarta les jambes plus encore afin de se rapprocher de son visage. Les lèvres de Sonia quittèrent son sexe et elle les remplaça par son sexe humide. Sonia me fixait de son regard de salope, me défiant de tenir plus longtemps qu’elle. Le traitement qu’elle m’avait fait subir m’avait quelque peu anesthésié et je sentais pouvoir tenir encore une bonne heure (au moins). Elle attrapa le visage de sa sœur et l’embrassa à pleine bouche. Esclave de son plaisir, Estelle se laissait faire. Sonia la dirigea ensuite vers ses seins qu’elle embrassa. Son bassin ne cessait pas de monter et descendre donnant à mon sexe un mouvement circulaire dans son orifice anal. Cette impression de rodéo me donna envie de lui flatter également la croupe. Ma paume claqua sur la chair de sa fesse et elle gémit, le téton de sa sœur entre les dents. « Vas-y, continue, elle adore, m’avoua Sonia, plus que moi ». Je ne me fis donc pas prier et donnai à nouveau à son cul une claque retentissante. La marque de ma main se dessina sur sa peau. Je caressai doucement la surface devenue plus chaude, tout à coup, puis recommençai à nouveau. Ses gémissements à chaque coup ne laissaient aucun doute quant à son goût pour ce type de caresse. Je continuai donc sur l’autre fesse (pas de jalouse), alternant les caresses et les claques, tout en continuant de la pénétrer toujours plus profondément.

Pic___048Le directeur avait fait du ménage sur son bureau et y avait allongé son assistante. Après avoir abondamment lubrifié son sexe de salive et de gel (oui, y’a visiblement des directeurs américains qui ont des grosses bites et du gel lubrifiant dans leur bureau. Ben oui, on sait jamais, au cas où) Puis ,il présentait sa queue de cheval à l’entrée du sexe rasé de la brune, surplombé d’un joli petit triangle. Évidemment, il ne la pénétra pas sans mal, mais une fois au bout du bout, il la tringla avec force et rapidité. Le pauvre n’arrivait à la pénétrer qu’avec la moitié de son sexe, ses couilles se balançaient sans pouvoir cogner sur le cul somptueux de l’assistante asservie.

Sous mes coups de reins les coups de langue de Fred et la fessée ininterrompue, l’ensemble des remparts d’Estelle cédèrent un a un et son corps fut terrassé par un orgasme gigantesque. Dans ses spasmes, elle mordit plus fort encore le téton de sa sœur qui, ne s’y attendant pas, fut elle aussi engloutie par le plaisir. Le souffle de mon ami qui courrait sur mes couilles, devenu de plus en plus fort à mesure que son plaisir giclait entre les jambes de Sonia, ne me permit pas de tenir l’heure escomptée et je me répandis, dans les gémissements coordonnés, dans le cul de la seconde jumelle.

Le directeur, lui, après avoir pénétré son assistante, assis sur son fauteuil et elle, dos à lui, sur ses genoux, s’était relevé. Il avait positionné la demoiselle les mains sur le bureau en acajou, un genou remonté sur le sous-main en cuir et salivait abondamment sur sa main afin de lubrifier l’orifice anal de sa partenaire. Une noisette de gel et une dilatation en règle plus tard, il présentait son gourdin à l’entrée de son cul. Il écartait ses fesses, elle cambrait les reins et il s’enfonça dans la dame jusqu’à la garde cette fois-ci. (Si on enlève l’appréhension, qu’on ajoute la bonne dose de lubrifiant et peut-être de gel anesthésiant, on se dit, heureusement qu’il y a les films de cul et la sodomie pour les hommes que la nature à trop gâtés)

Pic___032De mon côté, j’admirai avec mon ami les deux jumelles nues et assoupies sur la moquette de la salle de projection. Fred ouvrit le canapé convertible qui était au fond de la pièce et nous les y déposâmes délicatement. Il me tendit la main dans laquelle je tapais comme pour le remercier de ce sympathique partage.

En bas, il ne restait plus que quelques convives saouls comme des cochons, affalés ici et là. Le reste de la foule avait quitté la maison et le soleil commençait à se lever. Nous réveillâmes les derniers présents et les invitâmes à quitter les lieux pour aller finir leur nuit ailleurs. Nous remontâmes, les filles dormaient paisiblement, impudiquement offertes. Fred alla chercher une couverture dans la chambre de ses parents. Nous les rejoignîmes et enserrâmes sous la couverture pour un somme revigorant.

La pièce baignait de soleil quand je revins à moi. Une étrange sensation d’humidité et de plaisir m’envahissait. Je tournai la tête et voyais Fred, les mains derrières la tête, le sourire aux lèvres.

A suivre...

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Commentaires
M
Tes illustrations sont très engageantes aussi...
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