Serpent-dragon (5)

19 avril 2010

A l’écran, la jeune fille n’avait plus aucun vêtement autre que ses escarpins et ses bas et le garagiste pétrissait et donnait quelques claques sur ses fesses en même temps qu’il la sodomisait avec fougue.

Je tentai à mon tour quelque claque sur l’admirable fessier immobile mais pas inactif. Ces fessées eurent le résultat escompté. Sonia quitta le sexe d’Estelle pour se retourner, me sourire en me jetant un regard joueur. Fixant son regard bleuté, je donnai à nouveau une bruyante claque sur la chair de son cul. Elle mordit sa lèvre inférieure « ouh, oui, vas-y, me dit-elle, encore » j’obéissais. Elle se pencha à nouveau sur le sexe de sa sœur. Celle-ci fit volte-face. Et reposa son sexe sur le visage de Fred. Sonia vint alors saliver sur son cul. Ses mains quittèrent le sol pour se poser sur ses fesses et les écarter pour lécher à son tour son œillet palpitant.

Le corps de Sonia se mit alors à trembler subitement et ses halètements laissèrent place à une suite de « oui » de plus en plus forts et plus en plus soutenus. Son bassin montait et descendait, donnant à nos pénétrations des angles plus ou moins approximatifs. Il fallut que je passe un bras autour de ses hanches pour qu’elle cesse ce rodéo désarçonnant. Mon plaisir montant de plus en plus, j’accélérai alors entre ses fesses et me vidait en longue giclée dans son cul.

Elle quitta la queue de Fred laissé un peu en reste, immobilisé par cette position qui l’avait un peu piégé. Elle descendit le long de son torse et reprit son sexe en bouche. Estelle, laissée elle aussi en reste par la hardiesse de sa sœur, se jeta aussi sur cette queue encore dressée. Elle enfourcha à nouveau le visage de Fred et frotta son clitoris contre sa langue sortie. Les jumelles lui prodiguèrent une pipe en duo des plus réussies. Le spectacle ne tarda pas à me redonner la vigueur attendue. Je contournai donc les filles et présentai mon sexe entre les fesses d’Estelle, pour des raisons d’hygiène, premièrement et deuxièmement, il aurait été dommage que les préparatifs mis en œuvres par sa sœur restent vains. Cette entrée en matière par la porte de derrière ne sembla pas la déranger outre mesure. Cependant, la préparation ayant été quelque peu perturbée et ma queue ayant pris un peu de volume pour ce deuxième assaut, je décidai d’améliorer la lubrification de l’endroit. Un peu à court de salive dans l’excitation générale. Je profitai de la lubrification naturelle de son sexe pour en faire profiter son cul.

Le garagiste, lui, était en train de faire un masque au sperme à sa cliente en guise de facture, laquelle se badigeonnait le visage de la juteuse semence à l’aide du gland humide.

L’image suivante, un homme en costard cravate consultait des papiers debout à côté de son bureau. Il appuyait sur le bouton de son interphone pour appeler son assistante. Cette dernière ne se fit pas attendre. C’était une grande brune qui avait plus une allure de mannequin que de secrétaire (probablement la promotion canapé) tailleur-escarpins-chignon-lunettes-bloc-notes, l’attirail complet de la secrétaire de direction, quoi. L’homme lui demandait où se trouvait le dossier « Malone ». Elle tournait les talons et revenait illico avec un dossier bleu. Elle le lui tendait. « Il faudrait reprendre la présentation, lui disait-il, vous voyez, là on ne voit pas assez le produit et trop le mannequin » Il avait repris sa place sur son fauteuil de ministre et la demoiselle se penchait sur les présentations que lui montrait son patron. La caméra descendait dans le décolleté de la demoiselle pour qu’on aperçoive ses sous-vêtements de dentelle noire, et montrait l’intérêt que portait le patron à la demoiselle plus qu’à la présentation. Il s’écartait un peu d’elle et posait une main sur son fessier. Elle le regardait apeurée. Mais il la rassura en lui disant qu’il était tout de même content de son travail. Puis il descendait sa main le long de sa croupe et remontait à l’intérieur de la jupe. La fille fermait les yeux, laissant à son patron tout le loisir voulu pour palper la chair de ses fesses.

L’orifice de la seconde jumelle suffisamment lubrifié, je présentai donc ma queue en remplacement de mes doigts qui avaient ouvert le chemin. La demoiselle se redressa sur ses avant-bras et fit le dos rond pour aider à la pénétration. Je m’enfonçai alors délicatement en elle, enserré entre les globes de ses fesses que j’écartai de mes pouces afin de profiter du spectacle. Oui, parce que franchement, c’est peut-être un plaisir de mec, mais c’est quand même super kiffant comme spectacle que de voir sa queue pénétrer un cul comme le sien. Elle lâcha un soupir de plaisir lorsque je buttai contre ses fesses et me retirai langoureusement. Elle passa ses cheveux de l’autre côté de son visage, dans un mouvement de cou typiquement féminin et retourna s’affairer sur la bite de Fred que sa sœur n’avait pas manqué d’accaparer.

A suivre...