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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
3 mai 2010

IUT

20090312195013_passion_4Ce matin, devant mon véhicule, traversait un couple d’étudiants sortant de l’IUT… Enfin un couple… à cet âge, quand on voit un garçon plutôt habillé proprement et une fille en jupe et bottes, on s’imagine aisément qu’ils puissent être « ensemble » (enfin, moi, c’est ce que j’imagine). C’est là que mon esprit divague.

Parce qu’initialement, je me dis qu’il la drague tout ce qu’il peut et qu’il a réussi à l’inviter chez lui (ses parents travaillent) pour le motif officiel de réviser, en vue des prochains devoirs sur table. Elle est sérieuse et l’aime bien, ils rient bien ensemble et il est plutôt intelligent, récoltant souvent des notes meilleures que les siennes. Réviser avec lui serait probablement une aubaine pour combler les lacunes qui lui restent. Lui, de son côté, la seule chose qu’il a envie de combler c’est la faim qu’il a de son corps. Cela fait des mois qu’il la regarde, qu’il la toise, qu’il scrute le moindre de ses mouvement tellement il est avide d’images d’elle, qu’il attend les moments où elle va se baisser pour ranger ses cours dans son sac, mouvement au cours duquel il pourra avoir l’opportunité de deviner le galbe d’un sein sous son chemisier, la dentelle de son soutien-gorge, le dessin d’une culotte ou mieux, d’un string sous le tissus de sa jupe ou de son pantalon. Il l’a déjà surprise une fois, l’été dernier, alors qu’elle était assise en tailleur sur l’herbe et qu’elle s’était penchée en avant pour attraper un cahier posé plus loin. Ce triangle de tissus bleu pâle lui avait sauté au visage. Il n’avait pu en détacher son regard et la persistance rétinienne lui était restée jusque tard dans sa nuit, nuit durant laquelle il s’était imaginé caresser ses fesses ainsi vêtues et libérant la pression sexuelle accumulée sa main agitée sur sa queue.

Là, il la suit dans les escaliers qui montent chez lui, il ne peut s’empêcher de mater son cul. Il voudrait bien faire preuve de subtilité, mais son cerveau reptilien a pris le pas sur sa raison. Elle s’arrête à la porte, lui aussi, jusqu’à ce qu’il se souvienne que lui seul peut ouvrir, sous le regard étonné de son amie. Ils entrent. Il l’invite à s’asseoir dans le salon pendant qu’il va faire un tour dans sa chambre. Il range rapidement les quelques trucs qui traînent « au cas où », se passe les mains sur le visage en se disant « du calme, du calme, on est là pour réviser ». Mais comment va-t-il faire pour ne pas lui sauter dessus, elle qui est seule, à l’attendre dans le salon, longtemps avant que ses parents et son petit frère ne rentrent.

Mais n’est-ce pas plutôt elle ? Cela fait des mois qu’elle lui fait des appels du pied qu’il semble ne pas voir. Qu’elle s’habille sexy quand elle sait qu’ils auront l’occasion de passer du temps ensemble. Qu’elle va le voir à ses compètes de natation pendant lesquelles elle fond littéralement devant sa musculature de dieu romain. Qu’elle se rapproche de lui et lui raconte sa vie, ses envies (sauf les plus intimes qui le concernent trop), ses ennuis.

Il l’a enfin invitée chez lui. Pour réviser, a-t-il dit, mais qu’importe, ils seront seuls, il tentera peut-être quelque-chose. De toute façon, s’il ne tente rien, c’est elle qui tentera. Elle a coordonné ses sous-vêtements spécialement pour lui, remplacé les collants par des bas, le réchauffement de la saison s’y prêtant. Elle a même entretenu son intimité pour ne pas qu’il soit repoussé au cas où les évènements en viendraient à autant de rapprochement. Il est parti poser ses affaires dans sa chambre, elle s’installe dans le canapé beaucoup trop confortable pour réviser. Elle croise les jambes, les décroise, s’assied sur le rebord du canapé, s’enfonce dans les coussins, elle ne sait quelle position adopter. Elle opte pour la position sage-mais-pas-trop. Elle appuie ses fesses sur l’accoudoir et croise ses jambes. Il revient.

« Tu veux boire un truc ? lui demande-t-il

- Oh, un verre d’eau ce sera très bien

- Tu veux pas un Whisky d’abord ? lui demande-t-il en faisant référence maladroitement au film de Les Nuls » Elle rit. Il est rassuré.

- Juste un doigt alors, renchérit-elle.

Il va leur chercher un verre d’eau chacun en riant.

- Bon, on s’y met ? Reprend-il, sérieux. Comment on fait, on regarde le cours d’abord et on fait les exos ensuite ou on commence directe par les exos ? »

Elle se dit que c’est le moment d’attaquer et de voir « On va directement passer à la pratique, non ? lance-t-elle »

Il se dit que ce n’est pas possible, elle ne peut pas avoir pu dire ça innocemment, car il n’a pas parlé de pratique « euh… bredouille-t-il, donc les exos ?

- oui, voilà, répond-elle un peu déçue de cette tentative ratée. Vas-y, sors-les… » Il se retourne en riant et commence à défaire sa ceinture. Intriguée, elle réécoute ce qu’elle vient de dire et rit du lapsus. « Mais non, les exos dit-elle en riant. » Il lâche sa ceinture. «  Même pas cap, le défie-t-elle.

- Pas cap de quoi ? répond-il ne croyant ni ses yeux ni ses oreilles de ce qui est en train d’arriver et surtout ce qu’elle est en train de répondre

- de la sortir, lui tient-elle tête.

- Qu’est-ce que tu racontes, Elo ? demande-t-il afin d’être sûr de ne pas faire de bourde.

- Ben vous, les mecs, vous vous vantez toujours que vous en avez une « grosse », c’est le moment de faire ses preuves !!

- c’est un peu trash, non ? Tu le ferais, toi, si je te demandais de me montrer tes seins ?

- tu veux les voir ? » Elle n’attend pas sa réponse, qui ne viendra finalement pas, et défait son chemisier bouton après bouton, ses doigts tremblants et fixés par les yeux du jeune homme aussi grands ouverts que sa bouche. Elle sort les pans du chemisier de sa jupe et fait glisser le vêtement sur ses épaules. « Alors ? Cap ou pas ? Renchérit-elle

- B… j… sais pas. Répond-il en bredouillant hypnotisé par le soutien-gorge à balconnets de dentelle bordeaux maintenant ses seins qu’il imagine énormes.

- Vous êtes bien tous des fanfarons, c’est difficile pour vous de faire le premier pas, hein ? Dis, tu me regardes, quand je te parle ?

- Oui, excuse, lui répond-il, c’est que j…

- Et ben, je ne pensais pas que je te ferais cet effet là !» Elle passe alors sa main dans son dos, défait la boucle du soutien-gorge, retient le vêtement sur ses seins du bras, puis y pose ses deux mains. « Donnant-donnant, hein ? s’assure-t-elle. » Il hoche la tête, les yeux rivés sur ses mains qui, doucement, s’écartent et laissent tomber le morceau de tissus qu’elle avait mis une heure à choisir parmi quatre autres prétendants.

Dylan est sous le charme. Ses seins sont superbes, ronds. Ses petits tétons se dressent. Elle fait au moins un 95C se dit-il. « Ils sont superbes, lui avoue-t-il

- je sais, j’en suis assez fière, lui répond elle en regardant ses seins et en les remontants, les mains en coupe et érigeant ses tétons en les pinçant entre ses doigts. Allez, à toi ! lui lance-t-elle. Fais moi voir ta queue. » Il bredouille à nouveau, sans quitter ses seins du regard, et il reprend sa ceinture qu’il défait. Il ouvre son pantalon, le descend sur ses cuisses lentement. Ses yeux ne quittent pas les seins de son amie.

Elle a le cœur qui bat la chamade. Elle rêve de son corps toutes les nuits, et elle va enfin pouvoir le voir dans son absolue nudité… enfin, une fois qu’il aura passé la barrière de la timidité. « Ah, tu fais moins le malin, là… c’est fini le ‘tu veux pas un whisky, d’abord ?’ » Son excitation la rend loquace. Il finit par enfoncer ses pouces sous l’élastique de son boxer et à le faire descendre sur son pantalon. Seulement, les pans de sa chemise recouvrent l’objet de ses désirs. « Ben là, j’vois rien, hein » Elle s’approche de lui, maintenant qu’elle est les seins à l’air dans son salon, elle n’est plus à un pas près. Elle défait les boutons de sa chemise en partant de son col et en descendant. Elle passe ses mains sur ses pectoraux qu’elle admire chaque dimanche après-midi à la piscine municipale, puis sur ses abdominaux, le dos de sa main est caressé par un objet chaud et lourd. Elle remonte ses mains sur ses épaules et fait descendre la chemise le long de ses bras. Elle s’écarte « Ah ouaaaaais, le félicite-t-elle, tu peux te vanter, y’a de quoi !

- Merci, bredouille-t-il à nouveau.

- Bon, ces exos de maths, on s’y met ? demande-t-elle. Elle jauge son air interrogatif. Mais non, j’déconne, c’était pour te dérider. » Il sourit. Elle repose sa main sur ses pectoraux, redescends sur la tablette de chocolat qu’il a sur le ventre, pose sa paume sur son aine, descend le long de sa cuisse et remonte en s’emparant de son membre aussi dur que de la pierre. Elle attrape sa main et la pose sur son sein. « Vas-y, caresse-les, t’en meurs d’envie » Il serre sa main sur son sein. « Oh ! Doucement ! C’est pas ta bite ! Lui dit-elle en lui souriant » Il desserre l’emprise et passe son pousse sur le mamelon dressé. « Oui, comme ça, en douceur, souffle-t-elle, c’est boooon, ouuuui » son pouce tournoie sur son mamelon et ses doigts caressent la peau de son sein.

A suivre...

dirty_dishes

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Commentaires
M
Pas farouche cette jeune damoiselle! Il va falloir qu'il soit à la hauteur et inventif...hum!!! la suite...
M
Ce début est prometteur ...une ambiance étudiante , une jeune femme débridée, j'attends avec impatiente la suite ...<br /> <br /> Baisers
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