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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
11 mai 2010

IUT (fin)

Pic_1003

Elle a pris en main le membre dressé. Dans le film qu’elle a regardé, piqué sur l’étagère du haut de l’armoire de son grand frère, elle a vu comment branler une queue, langoureusement, en tournoyant, en caressant le gland. Elle ferme les yeux pour réunir sa concentration sur ses caresses tout en appréciant la sensation de sa main sur son sein gonflé. Elle sait aussi que les hommes aiment les fellations. Elle en rêve. Elle rêve de recueillir sa semence dans sa bouche, de goûter ce liquide. Le regard des filles, dans le film, en disait long sur leur goût pour le sperme, elle veut goûter.

Elle s’accroupit donc et s’apprête à prendre ce membre entre ses lèvres à la manière des actrices de porno. Il l’arrête

« Qu’est-ce que tu fais ? lui dit-il, on ne s’est jamais embrassé et tu veux me sucer ?

- t’inquiète, on aura tout le temps de s’embrasser après. »

Elle s’accroupit donc à ses pieds, les yeux rivés à ce pieu de chair. Elle le caresse, remonte sa main sur son gland. Elle observe aussi son visage dont les traits mêlent plaisir et douleur. Elle pose sa langue à la base du sexe et remonte doucement. Ses mains se posent sur son ventre. Elle lèche toute la longueur du membre qui semble se dresser de plus en plus. Dressée sur ses genoux, elle a la bouche au niveau de son gland décalotté. Elle passe sa langue sur la base du gland, il se tend. Elle pose un baiser sur ce gland orgueilleux, il inspire profondément. Puis ses lèvres s’entrouvrent et glissent doucement autour du gland d’où s’échappe déjà un liquide chaud et salé. Elle suce doucement cette boule de glace brûlante puis, toujours aussi délicatement, l’enfonce au fond de sa gorge. Elle aspire sa bite comme un Mr Freeze et remonte sur son gland « Putain, crie-t-il alors, j’vais jouir » A peine a-t-elle le temps de comprendre cette phrase que la semence visqueuse se projette dans sa gorge, au point de lui donner la nausée, mais elle se reprend, recueille la semence, le laisse venir sans mot dire, le flot de sperme remplit sa bouche, elle ne peut qu’avaler. Elle continue de le sucer sous ses grognements. Elle quitte sa queue vidée, goûte alors cette semence légendaire. L’odeur n’a rien de ce qu’elle imaginait, de ce qu’en disent les autres, celles qui n’ont finalement probablement jamais goûté, contente d’elle, bien qu’un peu frustrée par la rapidité des choses, elle se redresse et regarde, attendrie, son air penaud.

« Tu vas me prendre pour un éjaculateur précoce, maintenant, bougonne-t-il.

- Je vais te prendre pour rien du tout, je comprends que tu aies été excité, je l’étais autant que toi… et, soit dit en passant, je le suis toujours.

- Mais t’as fait ça à combien de personnes avant moi pour faire ça aussi bien ?

- T’es le premier

- Mais comment tu peux savoir…

- J’ai piqué un film à Thierry… et j’ai appris, allez, embrasse-moi

- là, maintenant, après…

- Oui, après…, j’ai avalé ton sperme, j’en suis pas morte, ça ne va donc pas te tuer. Tu as aimé au moins ?

- J’ai adoré. Mais, c’était un peu court.

- Je compte bien recommencer, si ça peut te rassurer, embrasse-moi. » Il la prend dans ses bras et pose ses lèvres sur les siennes. Elles ont le goût salé de sa queue. Ce n’est pas désagréable, sur ses lèvres. Putain, il est en train de l’embrasser, elle est seins nus dans son salon et il vient de jouir dans sa bouche. La simple évocation de ce qui vient de se passer fait à nouveau affluer le sang dans sa verge. Il pose sa main sur son sein, elle gémit. Il la caresse doucement, jouant avec ses mamelons, ses gémissements l’encouragent dans cette direction. Mais elle prend sa main et la dirige entre ses jambes. Il pose donc sa main sur sa cuisse, sur le nylon qui les vêt et remonte doucement. Il butte contre un liseré auquel il ne s’attend pas. Putain, en plus, elle a mis des bas. Il passe le liseré et trouve une parcelle de chair nue et douce. Elle écarte ses jambes et avance son bassin vers lui. Ce mouvement de hanche propulse immédiatement sa main contre son entre-jambe humide et brûlante. Il pose sa main contre son pubis et glisse ses doigts dans sa fente. Sa langue tournoie dans sa bouche, mais elle, elle s’est arrêtée, elle semble à l’affût des mouvements de ses doigts. Il caresse le triangle de tissus comme elle lui a intimé de caresser ses seins, sans violence, sans rudesse. Les fragrances qui se dégagent semblent emplir la pièce et hypnotiser son odorat au point d’en être enivré. Il veut alors la voir, nue, dans les attraits qu’elle semble avoir choisis pour lui. Il quitte ses lèvres, ses yeux sont fermés, sa bouche reste entre-ouverte, elle est splendide. Le rose qui teinte ses joues lui va à ravir. Il sent son cœur battre plus fort en voyant combien elle est belle.

Il s’accroupit à son tour.

Ses lèvres se posent dans son cou et il descend sur ses seins. Ses mains les entourent. Il plonge son visage entre les deux globes. Ses pouces maltraitent ses mamelons qu’il suce un à un, sous ses soupirs encourageants. Il continue de descendre et embrasse son ventre qui se creuse sous ses baisers. Ses mains caressent toujours ses seins sur lesquels sa bouche remonte. Puis ses mains passent sur ses reins à la recherche du système de fermeture de sa jupe. Il espère qu’il arrivera sans mal à s’en occuper, par chance, il trouve une fermeture éclair. Un nouvel échec aurait été un peu mal venu après son éjaculation rapide. Pourtant, il s’était branlé avant d’aller à l’IUT, deux fois même, pour décomprimer la tension qui risquait de s’installer, mais en vain. Sa bouche avait été tellement douce sur son sexe, cette sensation avait été tellement intense… Il doit se rattraper.

Le zip de la jupe défait, il fait glisser le tissu sur ses cuisses. Elle resserre les jambes, ondule du bassin pour qu’elle tombe et dégage ses pieds du vêtement. Il la regarde. Elle est belle, garce et offerte. Les yeux fermés. Les seins nus. Puis ses bottes, ses bas et son string de dentelle bordeaux. Il pose ses mains sur ses hanches, caresses son ventre creusé avec ses pouces et descends sous l’élastique du string. Il découvre le triangle parfaitement dessiné à son intention, le sous-vêtement moite glissant le long de ses bottes. Ces bottes, d’ailleurs, font un peu tâche dans l’image angélique qu’il a d’elle à ce moment précis. Il les ouvre et les lui enlève.

Seuls ses bas noirs subsistent sur sa peau blanche, mettant en évidence le triangle brun au dessus de son sexe.

Elle frémit. La pièce et grande et leur excitation ne suffit pas à la réchauffer. Il se relève, passe un bras dans son cou, un autre sous ses jambes et la porte jusqu’à sa chambre. Il la dépose sur son lit. « Attend-moi, lui susurre-t-il

- Je ne vais nulle part, répond-elle » Puis il quitte la pièce, retourne au salon, réunit les vêtements abandonnés. Il passe par la salle de bains et ouvre l’armoire à pharmacie. Il prend un préservatif, de ceux que sa mère lui avait apportés discrètement, en lui disant « au cas où tu en aurais besoin, pour que tu ne fasses pas de bêtise dans la précipitation… » Il les avait rangés et le cas où était arrivé. Il en attrape un dans la boîte, mais une bande de six vient avec. « Pas grave, se dit-il » il ne veut pas la faire attendre d’avantage.

Il revient dans sa chambre. Elle est recroquevillée sur son lit, enserrant dans ses bras son oreiller. Il se couche à ses côtés. Elle se love dans ses bras. Il la regarde, dégage une mèche de cheveux de son visage et l’embrasse. Il caresse sa joue. Sa main descend dans son cou puis sur son épaule. Elle descend le long de son bras, rejoint sa main posée sur son ventre qu’il serre tendrement. Puis il remonte sur son sein dont le mamelon se dresse dans sa paume, il le fait rouler entre ses doigts tout en continuant d’embrasser délicatement ses lèvres et son visage. Il descend ensuite sur son ventre. Sa main lui laisse le passage. Ses jambes s’écartent quand ses doigts atteignent sa toison. Il plonge sa main à l’intérieur de sa cuisse et pose ses doigts sur les bords de son sexe. C’est le premier qu’il touche. Mais, lui aussi a révisé, maté nombre de pornos pour connaître le sexe féminin dans les moindres détails. Mais il n’est pas dupe et il sait que le surjeu des actrices ne peut aucunement l’aider. Il descend le long de son corps et se place entre ses cuisses. Elle relève ses bras au dessus de sa tête, offrant tout son corps à son bourreau. Elle relève ses jambes. Il observe son sexe. Ouvert comme une fleur, il brille de sa liqueur odorante. Il s’enivre de son odeur. Ce parfum qui monte directement à son cerveau et décuple son désir. Il passe ses doigts à l’entrée de ce sexe tant convoité. Ses pétales s’ouvrent et gonflent au toucher.

Les yeux fermés elle ressent son souffle sur sa peau, la douceur de ses mains, la douceur de ses caresses. Son attention particulière à son confort, la puissance de ses bras lorsqu’il l’a transportée tel un fétu de paille, de son torse maintenant contre sa cuisse. Et ce baiser qu’il dépose à présent sur son mont de Venus, la caresse de son nez sous son nombril qui descend dans la fente de son sexe déjà béant et haletant. Lorsque sa langue se pose sur son clitoris, elle ne peut contenir un gémissement puis relâcher tout l’air de ses poumons lorsqu’il vient à descendre sur ses lèvres. Caressant la corolle de sa fleur comme un jardinier une rose, il pose la paume de sa main sur sa cuisse et l’écarte délicatement puis repasse sous sa fesse pour la prendre à pleine main. Ses lèvres embrassent son sexe comme il a embrassé sa bouche, par petites touches successives puis par un baiser profond, tournoyant autour de son clitoris. Le suçotant parfois, pénétrant l’entrée de son sexe pour y recueillir le précieux nectar. Elle sent le plaisir monter. Il lape et lèche, suce et titille avec une affolante efficacité. Mais elle veut le sentir en elle. « Prend-moi, lui souffle-t-elle » Il se redresse, se glisse entre ses jambes. Il s’assoit sur ses chevilles et attrape le bandeau de capotes. « Ben dis-donc, rit-elle, tu comptes utiliser tout ça aujourd’hui ? Le taquine-t-elle

- Non, mais tout est venu quand j’ai voulu en prendre alors…

- J’déconne, tu veux que je t’aide ?

- tu l’as déjà fait ?

- Oui, au cours d’éducation sexuelle, au Lycée, sur des bites de couleur en plastique… alors tu veux que je le fasse ? » Il lui tend l’étui. Elle le déchire, extirpe la rondelle de caoutchouc, se débarrasse de l’emballage et s’empare du sexe fièrement dressé devant elle. Elle dépose l’objet sur le bout du gland, presse le réservoir comme à l’école, puis le déroule, doucement, délicatement, concentrée sur son travail. Le préservatif entièrement déroulé, elle masse les couilles de son amant, branle doucement le membre et s’allonge, l’attirant sur elle. Il ondule doucement, elle le guide. Et il s’enfonce en elle, retenant son souffle, elle aussi. Lorsqu’il s’arrête, ils relâchent tous les deux la totalité du contenu de leurs cages thoraciques. « Ca va ? S’inquiète-t-il

- Je ne voudrais être nulle part ailleurs, répond-elle » Il se retire doucement puis lui fait l’amour comme à une déesse. Il veut leur première fois inoubliable.

Son bassin ondule et vient à sa rencontre. Ses mains caressent son dos, ses fesses, sa nuque. Il plonge son visage dans son cou et l’embrasse fougueusement, il recherche ses lèvres qu’il baise frénétiquement. Il doit ralentir au risque qu’il jouisse à nouveau trop vite. Elle s’en rend compte. « Laisse-toi aller, on a tout le temps de recommencer… » Il se redresse et la regarde à nouveau. Elle se sent belle dans son regard amoureux. Il fixe son regard qui devient flou quand à nouveau son sexe s’enfonce en elle. Elle se sent chatte. «  Attend, lui dit-elle » Elle se retourne, pose ses genoux sur le lit et ses mains sur le mur « Viens, prend-moi comme ça, j’ai envie » Il approche son sexe qui retrouve instinctivement le chemin du sien. La sensation de son cul sur son ventre n’a rien de comparable Le dessins des courbes de ses hanches et de la ligne de son dos dans le prolongement de ce cul dont il n’arrive plus à détacher le regard est un délice. Il prend ses hanches. Elle attrape ses mains et les remonte sur ses seins tout en ondulant du bassin à la rencontre de son sexe. Il se sent plus profondément encore avalé par son sexe. Inconsciemment, il accélère et la pénètre toujours plus profondément. De plus en plus profondément, de plus en plus vite. Elle halète, gémit à chaque coup, de plus en plus fort, de plus en plus aigu. Cette mélopée finit d’abattre les murs de sa retenue, il sent le plaisir monter. C’est à ce moment qu’elle se déchaîne. Le corps envahi de spasmes, de vagues déferlantes la secouant dans tous les sens, il est obligé de s’agripper à ses hanches pour ne pas être désarçonné et jouir au fond d’elle, dans un râle frénétique.

Il s’écarte d’elle, se débarrasse du morceau de caoutchouc et s’allonge, elle se blottit contre lui. Il attrape le rebord de sa couette et les recouvre. Elle attrape sa main et la serre entre ses bras, amoureuse et satisfaite.

« Ca va ? s’inquiète-t-il à nouveau

- C’était génial, répond-elle en ondulant du bassin contre son sexe ramolli. Ca donne envie de recommencer

- Maintenant ? craint-il

- Quand t’auras envie » Elle prend sa main et caresse sa paume du bout des doigts. Puis elle la pose sur son sein et l’étreint contre la chair toujours tendue. Son téton se dresse contre la peau de sa main, dur comme un petit sexe. Son sexe à lui se redresse, un peu douloureux, mais vigoureux. Il prend position entre ses fesses. Elle l’attrape et le guide à l’entrée de ses lèvres et recule vers lui. Il s’enfonce, découvrant la sensation du contact de leurs sexes sans capote. Il soupire. « Qu’est-ce que c’est bon, dit-il.

- Baise-moi. Sa main est restée entre ses jambes et caresse leurs deux sexes. Il s’enfonce en elle, une main sur son sein, l’autre sur sa hanche. Leurs ondulations accélèrent. « J’ai pas mi de… lui souffle-t-il

- C’est vrai, attend, répond-elle. » Elle tend la main vers la table de chevet et attrape la bande de capote. Elle se retire doucement, ouvre un sachet et déroule fébrilement l’objet sur la queue tendue entre ses jambes, puis elle le guide à nouveau et reprend rapidement le rythme de leurs ondulations. « Vas-y, baise-moi, oui, lui murmure-t-elle, comme ça, profond, ouiiiiiii, encoooore, ouiii, ouiiii » Ses mains se contractent sur son sein et sur sa hanche, encouragé par ses mots, il tend son bassin vers son cul, elle halète, part sur une série de cris légers et aigus. Elle pose sa main la sienne, pétrissant son sein. Elle se tend dans un dernier « oui » plus long, se terminant dans un silence…

Sa queue est toujours tendue entre ses lèvres rassasiées, il continue à la pénétrer doucement. Elle se retourne, le pousse à se mettre sur le dos. Elle descend le long de sa jambe, libère son sexe de sa combinaison de latex et le caresse doucement, puis elle le glisse entre ses lèvres. Elle l’aspire profondément sous ses soupirs. Elle joue de la langue sur le gland turgescent, et l’aspire à nouveau. Elle branle cette verge tendue de sa main libre, suivant de ses lèvres l’anneau formé par son pouce et son index. Il pose sa main sur sa tête, caresse son visage, plonge ses doigts dans ses cheveux. Il gémit. Elle accélère, l’aspire de plus en plus, resserre ses joues autour de son sexe, caresse de sa langue le gland au bord de l’explosion. Il se tend et jouit à nouveau dans sa bouche. Cette fois, elle ne s’est pas laissé surprendre et goûte sa semence avec un plaisir qu’elle imagine inépuisable.

Ils passent la fin de l’après-midi nus dans les bras l’un de l’autre, sous une couette de coton, sortis de leur torpeur par le retour de maman à l’heure prévue, mais oubliée des jeunes tourtereaux. En entrant et ne voyant que des sacs de cours dans le salon, flottant une odeur lui rappelant ses premières amours, elle décide de faire comme si de rien n’était, s’amusant du regard gêné des deux adolescents sortant les joues roses de la chambre du jeune homme. « Alors, ces révisions ? ça avance ? s’amuse-t-elle, lançant un clin d’œil complice à la demoiselle. Allez, les enfants, va pas falloir se laisser aller, hein. Remettez-vous au travail ! Tu veux manger là, Elodie ? »

Dylan, bien que gêné par la réaction légère de sa mère, lui sourit. « Merci maman, lui susurre-t-il lorsqu’elle quitte la pièce. « Oui, volontiers, répond Elodie à l’invitation, je préviens ma mère. » Les deux étudiants se regardent, le regard amoureux, se remémorant les émotions de l’après-midi, les yeux pleins d’espoirs d’éternité.

Pic_1004

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Commentaires
M
hum!!! Quel bon moment passé à lire cette histoire. Elle m'a transporté et j'ai beaucoup aimé.<br /> Merci pour ce bel instant...
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