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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
16 juillet 2010

Soirée vidéo (2)

Pic_1011

- c’est quoi le troisième film, reprit-elle pour éluder » Le troisième film ? pensai-je, merde j’ai oublié de le ranger avec son arrivée plus tôt que prévue. Devant mon embarras elle rit « Non, t’as loué un film de cul ? tu pensais te branler tout seul dans ton appart ce soir ? (oui, elle ne mâchait pas se mots)

- Tu le fais jamais ? la taquinai-je

- A ton avis ? répondit-elle

- Je ne pense pas que les filles le fasse aussi souvent que les mecs. Et il ne vaut mieux pas que je t’imagine le faire…

- Si c’est ce que tu penses, alors… Et c’est quoi comme film ? enchaînait-elle.

- Allez, c’est bon, laisse tomber, tu reveux du jus d’orange ?

- Ben mets-le ton film, t’as déjà la gaule rien que d’imaginer que tu pourrais regarder un film de cul avec moi, t’en regardes avec Léa ?

- Elle aime pas ça, j’en regarderais pas tout seul si c’était le cas.

- Allez, mets-le, y’a longtemps que je n’en ai pas vus. » Je jaugeais son air coquin. « T’inquiètes, je ne te toucherais pas, tenta-t-elle de me rassurer

- Mais ça ne m’inquiétais pas, lui répondais-je

- Par contre, il va falloir que toi tu tiennes, me défiait-elle

- Oui, c’est mieux, acceptais-je

- Je te parie que tu peux pas tenir, tiens, celui qui gagne choisit le gage de l’autre. Et pour t’aider, on joue la montre jusqu’à minuit.

- A quoi tu joues ? Demandais-je

- Faut bien s’amuser un peu, dans la vie

- C’est un jeu auquel j’ai pas l’habitude de jouer

- Et ben une fois n’est pas coutume, tu relèves le défi ? ou alors c’est que t’as envie de céder et à ce moment là t’es peut-être pas obligé de mettre le film.

- Tu rigoles ? Je suis laaaargement capable de tenir, allez, pousse toi de ma place » Je me retournai pour enclencher la cassette quand un morceau de tissu s’écrasait sur mon épaule. « C’est qu… ma phrase s’arrêta lorsque je ramassais sa culotte en bouchon. Je la regardai. Elle levait les yeux au ciel en feignant délibérément l’indifférence.

- Vraiment sympa, cette déco, me dit-elle, dans un si petit appart, vous avez fait un joli truc, c’est dommage qu’il fasse si chaud… » Je m’asseyais à côté d’elle tentant de ne pas succomber à ses avances, mais le jeu me semblait perdu d’avance. Je décidais donc de ne pas y céder tout de suite et de la laisser m’allumer… Elle voulait jouer.

Je lançais la vidéo. La première scène débutait évidemment sur une scène de sexe, un homme caressait avec avidité la poitrine d’une blonde plantureuse. D’une main, elle caressait le sexe de l’homme à travers son pantalon. Elle sortait ensuite le sexe mollement dressé puis s’agenouillait à ses pieds pour le sucer avec gourmandise, les yeux fixés sur l’objectif de la caméra. Clarisse se pelotonnait contre moi en poussant de petits gloussements. Elle mouillait ses lèvres bruyamment et faisait de petits « humm » lorsque la demoiselle enfournait la queue du jeune homme. « Elle suce bien, Léa ? me demandait-elle.

- Ca va, mais ça te regarde pas vraiment, répondais-je

- Oui, c’est vrai, mais c’était juste pour savoir, elle a pas l’air très…

- très quoi ?

- Portée sur le sexe.

- Elle est pas très portée sur le sexe (pas du tout, même pensais-je) mais suffisamment, lui mentais-je.

- Putain cette poitrine qu’elle a, elle, me coupait-elle. J’adorerais avoir des seins comme ça.

- Ça va, t’es pas non plus Jane Birkin, la rassurai-je

- Non, mais quand même, un peu plus, ça serait mieux… répondait-elle en se redressant et en regardant ses seins qu’elle remontait en les prenant à pleines mains. Un joli décolleté, ça fait toujours plaisir.

- Oui, mais après tu te plaindrais que les mecs ne te regardent pas dans les yeux. » Elle se rasseyait en s’enfonçant dans le canapé. Elle remonta un pied sous son genou et posa sa main à l’intérieur de sa cuisse. Je fis mine de ne rien remarquer, même si la situation devenait de plus en plus saugrenue. J’étais chez moi avec un short qui ne cachait rien de l’excitation provoquée par les circonstances, avec une fille qui savait combien son physique me plaisait et qui, de surcroît, ne portait plus de sous-vêtements. Je me reconcentrai alors sur le film, histoire de détourner les raisons de mon érection. La fille était à présent dos à son partenaire, les mains posées sur un piano à queue (comme quoi les réalisateurs français, c’est la grande classe), un genou sur le tabouret, se faisant vigoureusement bourrer. Il agrippait sa poitrine ballotante et tournait le bassin afin que la caméra puisse bien prendre la vision de son sexe aller et venir dans sa chatte entièrement épilée. Un œil sur ma voisine et sa main était remontée à l’intérieur de sa cuisse. Je pouvais percevoir la toison de son sexe. Elle me jeta un coup d’œil. « Un problème, Monsieur ? demanda-t-elle, on veut un gage tout de suite ? » Je lui souris et me retournai vers la télé. Il était 23h20 et minuit était loin. En même temps, dans la mesure où l’ensemble de mes idées n’allaient plus que vers cette chatte, nue sur mon canapé et que je ne craignais pas vraiment ses gages, je me demandais s’il ne valait pas mieux lui laisser la victoire dès à présent, tant les effluves de son sexe avaient pris d’assaut mes capteurs olfactifs. Mais, je préférais la laisser jouer.

Après leur chevauchée fantastique, les deux acteurs se retrouvaient dans une cuisine. Ils buvaient un café et le Monsieur partait à son travail, en costume trois pièces. Madame restait à la maison en nuisette transparente. (Elle allait probablement se mettre à faire son ménage ou la vaisselle et elle n’avait pas d’autre tenue). L’image s’arrêtait sur la pendule et plus d’une heure passait (par un subtil effet spécial d’avancée rapide des aiguilles. La jeune femme descendait dans son entrée et sortait de chez elle dans une tenue qui laissait comprendre qu’elle allait faire un jogging. La main de ma voisine s’était mise en mouvement sur sa cuisse, de légères caresses, innocentes. L’image d’après, la blonde revenait chez elle en sueur. Elle s’étirait rapidement sur le pas de sa porte, elle se penchait en avant, les jambes écartées, posant son front sur son genou. La caméra ne manquait rien du spectacle, profitant de la vue plongeante sur le décolleté que laissait entrevoir la veste de jogging largement ouverte et des formes de son fessier. Puis elle rentrait chez elle. Une fois rentrée, elle s’emparait d’une serviette avec laquelle elle s’épongeait le cou, le front et le décolleté. Quand la sonnette retentit. Un homme, le voisin qui l’avait vu rentrer, lui demandait si son chien ne s’était pas enfui chez elle. Il la suivait vers son jardin sans quitter son cul des yeux. Le chien n’était pas dans le jardin (mince), mais la jeune femme promettait à l’homme de le prévenir si elle le voyait. Il lui proposait d’attendre ensemble en attrapant délicatement la boucle de la fermeture éclair de la veste de jogging. Elle le laissait la descendre et dénuder sa poitrine avec un air faussement outré. Il découvrait sa poitrine nue et portait une main sur un sein dressé. La femme se laissait faire. Elle ne bronchait même pas quand il descendit sa main dans son pantalon et qu’il inserra ses doigts dans son sexe.

« Tu peux te pousser un peu, me demandait Clarisse, je voudrais m’allonger

- Tu pousses pas un peu ? lui répondais-je

- Ca va, il est grand ton canapé, me répondait-elle avec une moue attendrissante et terriblement sexy. » Je me serrai alors contre l’accoudoir et elle posait sa tête sur l’accoudoir opposé (alors que j’imaginais qu’elle allait s’installer sur ma cuisse.) Puis elle posait ses pieds sur ma cuisse. Sa robe remontait naturellement sur ses cuisses et m’offrait une vue imprenable sur son sexe humide. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase.

Pic_1012


A suivre...

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Commentaires
M
La tension monte...<br /> Très offerte Clarisse.Cela présage une belle aventure...
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