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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
26 juin 2009

Ingrid (4)

Julie ouvrit la porte et alluma les appliques qui éclairaient délicatement un salon décoré de manière baroque. En un tourbillon, elle enlaça Ingrid, lui fit faire quelques pas et se laissa tomber sur le canapé d'angle qui trônait face à la cheminée de marbre XVIIIème repeinte en noir. Les deux femmes s'enlacèrent dans un ballet de caresses et de griffures, se débarrassant l'une l'autre de leurs vêtements devenus gênants.

Julie présentait des formes félines, les traits de son corps ressemblaient à ceux de son visage et dessinaient sa silhouette avec une volupté indécente. Sa poitrine, bien que frêle, était admirablement ferme et galbée. Ses jambes étaient d'une finesse qui leur donnait l'impression d'être plus longues qu'elles n'étaient réellement. Son petit cul, était ferme et haut et ses reins le surplombaient d'un tatouage tribal. Elle revêtait un ensemble push-up string de satin mauve qui faisait ressortir la couleur étrange de ses yeux.

Julie laissa un instant Ingrid dans le canapé pour aller mettre de la musique. Les premières notes de violons de la Symphonie pastorale de Beethoven se firent délicatement entendre des quatre coins de la pièce. Julie fit admirer sa ligne à son invitée en virevoltant sur la musique en arabesques et entrechats puis s'agenouilla entre ses jambes. Elle s'empara de son shorty.

"J'ai envie de ta chatte, ma belle"

Ingrid l'aida à l'en débarrasser et passa sa main dans les cheveux de Julie lorsque celle-ci s'approcha de son sexe lisse et odorant.

Les caresses buccales de Julie étaient divines, alternant langue, lèvres et dents sur les attributs de son sexe ruisselant.

"Viens" lui susurra Ingrid qui l'invita à monter sur le canapé pour la gratifier des mêmes faveurs. Elles se postèrent tête-bêche, sur le côté, la tête sur la cuisse de l'autre, frottant leurs poitrine sur le ventre le l'autre et enfouissant leurs visages entre les pétales de leurs roses empourprées.

Fred entra alors dans la maison. Il avait à peine remis en état ses vêtements, et son sexe, fièrement dressé sortait encore de son pantalon. La fraîcheur de la nuit n'avait pas fait faiblir son érection et le spectacle des deux naïades butinant chacune le pollen de l'autre ne fit qu'aiguiser son excitation.

Il s'approcha et s'agenouilla devant le canapé. Il passa ses mains sur les corps ondulants, caressant fesses, hanches, nuques et seins dressés.

Le canapé qui se terminait par une partie allongée n'avait pas d'accoudoir de ce côté. Il fit donc le tour pour se retrouver du côté de la tête de Julie. Débarrassé de ses vêtements à son tour, Fred présenta sa queue dressée au visage de sa belle "Allez, les abeilles, assez butiné, voilà du pistil, dit-il en riant

- Ah, toujours très fin, chéri ! Et t'as l'impression qu'on a besoin de toi, là ? lui répondit-elle taquine,

- Alleeez, te vexe pas… t'as vu dans quel état vous m'avez laissé ?"

Julie empoigna le sexe qui se présentait à elle, le caressa virilement en quelque va-et-vient et l'enfourna dans sa bouche en ondulant du bassin sur la langue d'Ingrid.

Elle saliva sur sa hampe jusqu'à ce que sa salive coule le long de ses couilles… Puis elle sortit le membre de sa bouche et le dirigea vers le sexe de la rousse.

"Tiens ma belle, cadeau de bienvenue…" intima-t-elle à Ingrid.

Fred s'avança doucement et pénétra le sexe de leur invitée. Les mensurations du jeune homme lui arrachèrent un râle de plaisir à mesure qu'il s'enfonçait en elle. Pendant ce temps, Julie parsemait de morsures les abdominaux dessinés de son homme, tandis que ses parties intimes ruisselaient de la salive d'Ingrid. Julie s'empara alors à nouveau du sexe de son homme pour le porter à sa bouche et goûter les saveurs de la rouquine sur ce sexe brûlant. Elle le suça vivement tout en doigtant savamment le sexe d'Ingrid pour ne pas la laisser choir à son tour.

La verge nettoyée, elle la présenta une nouvelle fois entre les lèvres d'Ingrid.

Elle réitéra cela plusieurs fois tout en gratifiant chacun de ses caresses expertes. Fred commença à gémir sous la montée du plaisir alors qu'il pénétrait vigoureusement la chatte béante de la belle rousse.

Ingrid de son côté, poursuivait son cuni avec application, n'oubliant aucune parcelle du sexe glabre de la brune, insérant dans chaque orifice un doigt tournoyant, écartelant ses fesses pour plonger plus encore dans son sexe avide de plaisir.

Julie ne tint plus longtemps et l'orgasme la secoua, déclenchant celui d'Ingrid, sous les coups de boutoir de Fred, haletant, qui après un dernier coup de rein, se saisit de sa bite, et attrapa le visage de sa belle pour déverser sa semence dans sa gorge fine.

Fred s'écarta et laissa les deux filles poursuivre leur câlin joue contre cuisse.

Julie se releva et vint s'allonger contre Ingrid

"Tu fais quoi ce week-end ? on va chez des amis à Montpellier, y'a de la place pour toi, si tu veux…"

Ingrid réfléchit un instant et accepta l'invitation en l'embrassant goulûment, goûtant au passage les sécrétions de son homme sur ses lèvres.

"Pourquoi pas, ce serait dommage de s'arrêter là…"

Julie lui rendit son baiser et se posta à califourchon sur elle. Elle la regarda profondément, comme si elle l'avait toujours connue. Une sensation de déjà-vu la saisit, comme si elle assistait à la scène qui se passait… Ingrid releva la mèche qui cachait ses yeux et la passa derrière son oreille. Sa main descendit dans sa nuque et elle l'attira pour un autre baiser cette fois plus torride.

Ces échanges labiaux eurent un effet revigorant sur le sexe de Fred qui retrouva de sa raideur en un temps record. Le cul de sa belle relevé au dessus d'Ingrid, l'attira violemment. Il se posta donc contre le postérieur dressé et appuya sans sommation son gland à l'entrée du sexe offert.

Ingrid observait les traits fins du visage de Julie se déformer sous les assauts de son homme, un mélange de douleur et de plaisir accompagné de soupirs et de gémissements presque plaintifs. Elle caressait ses cheveux et ses joues, embrassait son visage et ses lèvres, mordillait ses oreilles tout en passant ses mains dans son dos, sur ses fesse, caressant au passage celles de Fred qui la maintenait fermement.

Ingrid porta un doigt à sa bouche pour le lubrifier abondamment et alla titiller la rondelle palpitante de sa cavalière. Elle flatta au passage le ventre musclé de l'étalon, se saisit de son membre et le présenta à l'entrée de l'orifice lubrifié.

Julie fit le dos rond pour aider à la pénétration du membre. Ingrid observait toujours les traits qui se défaisaient de plus en plus. Le visage de Julie était détendu, mais ses maxillaires montraient des signes de contraction. Les gémissements avaient laissé la place à des râles plus animaux qui se transformaient petit à petit en cris de plaisir. Son bassin allait à la rencontre du vit qui la besognait, les cris des deux tourtereaux emplirent bientôt la pièce et c'est dans un dernier soupir, se finissant dans un cri, que Fred se déversa dans le cul de sa femme.

Julie jeta un regard à Ingrid qui souriait devant le spectacle auquel elle venait d'assister, un ébat dans les yeux de la proie


A suivre...

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Commentaires
E
Un peu surchargé en ce moment, mais je lis et je commente dès que possible;)<br /> Parfois, difficile de commenter à chaud tant les textes sont torrides et les photos superbes.<br /> Alors je laisse retomber la pression, tout en essayant de continuer à bosser (bosser, c'est le mot, au vu de celle qui déforme mon pantalon !!!)<br /> En tout cas merci pour ces textes sublimes et ton imagination sans faille.<br /> PS : j'ai repéré quelques fautes d'orthographe:-))
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