Ingrid (4)
Julie ouvrit la porte
et alluma les appliques qui éclairaient délicatement un salon décoré de manière
baroque. En un tourbillon, elle enlaça Ingrid, lui fit faire quelques pas et se
laissa tomber sur le canapé d'angle qui trônait face à la cheminée de marbre
XVIIIème repeinte en noir. Les deux femmes s'enlacèrent dans un ballet de
caresses et de griffures, se débarrassant l'une l'autre de leurs vêtements
devenus gênants.
Julie
présentait des formes félines, les traits de son corps ressemblaient à ceux de
son visage et dessinaient sa silhouette avec une volupté indécente. Sa
poitrine, bien que frêle, était admirablement ferme et galbée. Ses jambes
étaient d'une finesse qui leur donnait l'impression d'être plus longues
qu'elles n'étaient réellement. Son petit cul, était ferme et haut et ses reins
le surplombaient d'un tatouage tribal. Elle revêtait un ensemble push-up string
de satin mauve qui faisait ressortir la couleur étrange de ses yeux.
Julie
laissa un instant Ingrid dans le canapé pour aller mettre de la musique. Les
premières notes de violons de la
Symphonie
"J'ai
envie de ta chatte, ma belle"
Ingrid
l'aida à l'en débarrasser et passa sa main dans les cheveux de Julie lorsque
celle-ci s'approcha de son sexe lisse et odorant.
Les
caresses buccales de Julie étaient divines, alternant langue, lèvres et dents
sur les attributs de son sexe ruisselant.
"Viens"
lui susurra Ingrid qui l'invita à monter sur le canapé pour la gratifier des
mêmes faveurs. Elles se postèrent tête-bêche, sur le côté, la tête sur la
cuisse de l'autre, frottant leurs poitrine sur le ventre le l'autre et
enfouissant leurs visages entre les pétales de leurs roses empourprées.
Fred
entra alors dans la maison. Il avait à peine remis en état ses vêtements, et
son sexe, fièrement dressé sortait encore de son pantalon. La fraîcheur de la
nuit n'avait pas fait faiblir son érection et le spectacle des deux naïades
butinant chacune le pollen de l'autre ne fit qu'aiguiser son excitation.
Il
s'approcha et s'agenouilla devant le canapé. Il passa ses mains sur les corps
ondulants, caressant fesses, hanches, nuques et seins dressés.
Le
canapé qui se terminait par une partie allongée n'avait pas d'accoudoir de ce
côté. Il fit donc le tour pour se retrouver du côté de la tête de Julie.
Débarrassé de ses vêtements à son tour, Fred présenta sa queue dressée au
visage de sa belle "Allez, les abeilles, assez butiné, voilà du pistil,
dit-il en riant
-
Ah, toujours très fin, chéri ! Et t'as l'impression qu'on a besoin de toi, là ?
lui répondit-elle taquine,
-
Alleeez, te vexe pas… t'as vu dans quel état vous m'avez laissé ?"
Julie
empoigna le sexe qui se présentait à elle, le caressa virilement en quelque
va-et-vient et l'enfourna dans sa bouche en ondulant du bassin sur la langue
d'Ingrid.
Elle
saliva sur sa hampe jusqu'à ce que sa salive coule le long de ses couilles…
Puis elle sortit le membre de sa bouche et le dirigea vers le sexe de la
rousse.
"Tiens
ma belle, cadeau de bienvenue…" intima-t-elle à Ingrid.
Fred
s'avança doucement et pénétra le sexe de leur invitée. Les mensurations du
jeune homme lui arrachèrent un râle de
plaisir à mesure qu'il s'enfonçait en elle. Pendant ce temps, Julie parsemait
de morsures les abdominaux dessinés de son homme, tandis que ses parties
intimes ruisselaient de la salive d'Ingrid. Julie s'empara alors à nouveau du
sexe de son homme pour le porter à sa bouche et goûter les saveurs de la
rouquine sur ce sexe brûlant. Elle le suça vivement tout en doigtant savamment
le sexe d'Ingrid pour ne pas la laisser choir à son tour.
La
verge nettoyée, elle la présenta une nouvelle fois entre les lèvres d'Ingrid.
Elle
réitéra cela plusieurs fois tout en gratifiant chacun de ses caresses expertes.
Fred commença à gémir sous la montée du plaisir alors qu'il pénétrait
vigoureusement la chatte béante de la belle rousse.
Ingrid
de son côté, poursuivait son cuni avec application, n'oubliant aucune parcelle
du sexe glabre de la brune, insérant dans chaque orifice un doigt tournoyant,
écartelant ses fesses pour plonger plus encore dans son sexe avide de plaisir.
Julie
ne tint plus longtemps et l'orgasme la secoua, déclenchant celui d'Ingrid, sous
les coups de boutoir de Fred, haletant, qui après un dernier coup de rein, se
saisit de sa bite, et attrapa le visage de sa belle pour déverser sa semence
dans sa gorge fine.
Fred
s'écarta et laissa les deux filles poursuivre leur câlin joue contre cuisse.
Julie
se releva et vint s'allonger contre Ingrid
"Tu
fais quoi ce week-end ? on va chez des amis à Montpellier, y'a de la place pour
toi, si tu veux…"
Ingrid
réfléchit un instant et accepta l'invitation en l'embrassant goulûment, goûtant
au passage les sécrétions de son homme sur ses lèvres.
"Pourquoi
pas, ce serait dommage de s'arrêter là…"
Julie
lui rendit son baiser et se posta à califourchon sur elle. Elle la regarda
profondément, comme si elle l'avait toujours connue. Une sensation de déjà-vu
la saisit, comme si elle assistait à la scène qui se passait… Ingrid releva la
mèche qui cachait ses yeux et la passa derrière son oreille. Sa main descendit
dans sa nuque et elle l'attira pour un autre baiser cette fois plus torride.
Ces
échanges labiaux eurent un effet revigorant sur le sexe de Fred qui retrouva de
sa raideur en un temps record. Le cul de sa belle relevé au dessus d'Ingrid,
l'attira violemment. Il se posta donc contre le postérieur dressé et appuya
sans sommation son gland à l'entrée du sexe offert.
Ingrid
observait les traits fins du visage de Julie se déformer sous les assauts de
son homme, un mélange de douleur et de plaisir accompagné de soupirs et de
gémissements presque plaintifs. Elle caressait ses cheveux et ses joues,
embrassait son visage et ses lèvres, mordillait ses oreilles tout en passant
ses mains dans son dos, sur ses fesse, caressant au passage celles de Fred qui
la maintenait fermement.
Ingrid
porta un doigt à sa bouche pour le lubrifier abondamment et alla titiller la
rondelle palpitante de sa cavalière. Elle flatta au passage le ventre musclé de
l'étalon, se saisit de son membre et le présenta à l'entrée de l'orifice
lubrifié.
Julie
fit le dos rond pour aider à la pénétration du membre. Ingrid observait
toujours les traits qui se défaisaient de plus en plus. Le visage de Julie
était détendu, mais ses maxillaires montraient des signes de contraction. Les
gémissements avaient laissé la place à des râles plus animaux qui se
transformaient petit à petit en cris de plaisir. Son bassin allait à la
rencontre du vit qui la besognait, les cris des deux tourtereaux emplirent
bientôt la pièce et c'est dans un dernier soupir, se finissant dans un cri, que
Fred se déversa dans le cul de sa femme.
Julie jeta un regard à Ingrid qui souriait devant le spectacle auquel elle venait d'assister, un ébat dans les yeux de la proie
A suivre...