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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
16 juillet 2009

Elise (suite et fin)

Caressant son dos, je regardais les muscles pileux se dresser sous mes doigts. Découvrant du regard son cul rebond, recouvert d’un string perdu entre les globes insolents et orné d’un porte-jarretelles à l’image de son goût pour la lingerie. J’empoignai ses fesses avec fermeté, les écartai et humai les effluves de son désir recouvrant celles du café encore fumant. « Je crois qu’on a des goûts communs, lui soufflai-je »

Puis je m’accroupis entre ses pieds qui s’écartèrent un peu plus. Je remontai mes mains le long de ses bas jusqu’à sa taille puis redescendis en emportant avec moi l’élastique du string de dentelle humide que je laissai au dessous de ses fesses. Je humai à nouveau animalement son cul, en me disant que les phéromones parlent plus que tout langage, finalement. Et, m’imprégnant de ses fragrances naturelles, je m’écartai pour la débarrasser totalement du fameux carré de dentelle si souvent narré lui aussi.

Ses jambes reprirent leur position et son bassin se cambra plus encore lorsque mes mains remontèrent à l’intérieur de ses cuisses. Prenant toujours soin de ne la toucher que de mes mains, je prenais aussi plaisir à quitter sa peau pour la laisser seule, dans l’obscurité du bandeau de satin, dans l’attente de la poursuite des caresses. Respirant sa peau, je laissais l’air s’échapper de mes poumons et courir sur sa peau afin qu’elle m’imagine à quelques centimètres d’elle.

Mes mains s’arrêtèrent sur son entrejambe liquéfié. Un doigt s’inséra dans la fente de son sexe lisse pour en recueillir quelques gouttes de nectar. Je tournoyai brièvement autour de son bourgeon gonflé et quittai son sexe un instant pour me redresser dans son dos. Je plaquai alors mon sexe encore prisonnier de mes vêtements mais fièrement dressé dans le sillon de ses fesses, pendant que mes mains remontaient sur ses seins et recouvraient du liquide recueilli entre ses jambes, ses mamelons toujours dressés. Malaxant à nouveau sa poitrine, je soufflai légèrement dans son cou, y déposant de légers baisers. « La vue ne te manque pas trop ? L’interrogeai-je

- pas le moins du monde, répondit-elle

- Moi, je ne louperais ce spectacle pour rien au monde. »

Puis je posai à nouveau un baiser dans son cou et descendit dans son dos d’une caresse labiale qui se perdit dans le sillon de ses fesses. J’attirai alors son bassin vers moi. Elle recula et se pencha en avant, la tête posée sur ses bras croisés, en appui sur le bar, le café refroidissant de à mesure que la température de la pièce montait, ses seins dans le vide. Puis, j’insérai un pouce dans la fente de son sexe ruisselant, agaçai son clitoris gonflé. Elle soupira de plaisir. J’enfonçai alors ce pouce entre ses lèvres ouvertes, caressant l’intérieur de son corps à la recherche de quelque tissu plus érogène qu’un autre. Mais ce qui me faisait envie était de la déguster, car si elle était sensible au toucher, je l’étais au goût.

Je positionnai donc mes pouces sous ses fesses, m’emparai de ses fesses, les écartai pour m’ouvrir le chemin de ses délices. Elle soupira à nouveau lorsque ma langue remonta sur son bourgeon dressé. Le malmenant et tournoyant à des rythmes aléatoires, se perdant de temps à autre entre ses lèvres que j’attrapais entre les miennes, léchant tantôt d’une langue pointue fine et dure, tantôt d’une langue pleine et douce la totalité de son sexe. Ses soupirs se firent aussi réguliers que les battements de son cœur qui s’écrasait sans sa poitrine, prenant de plus en plus la forme de gémissements contenus.

Je quittai alors son sexe pour m’occuper de l’œillet brun qui se cachait entre ses globes de chair. Il palpita à chaque coup de langue que je lui donnai. Je mordais ses fesses doucement entre chaque coup de langue, jouant au chat et à la souris, elle ondulait du bassin à chaque fois que je m’écartais.

Je me redressai dans son dos, passai ma main dans ses cheveux, attrapai sa crinière de lionne et m’approchai de son oreille « Maintenant, tu vas te mettre à genoux. Lui intimai-je » elle s’exécuta, je la guidai vers le tapis molletonné par pitié pour ses genoux. Ses mains se posèrent sur mes cuisses et remontèrent vers la boucle de ma ceinture. J’écartai ses mains. Je défis ma ceinture et m’en servis pour lui lier les mains dans le dos. Son sourire en disait long sur l’excitation qui la faisait se plier à mes caprices.

Je retirai ma chemise et ouvris mon pantalon. Je sortis mon sexe du vêtement qui le comprimait. Puis, je m’approchai de sa joue. Je posai mon gland au bord de ses lèvres et attrapai à nouveau sa chevelure défaite. Elle déposa un baiser sur l’extrémité de mon sexe. Puis elle ouvrit la bouche et se pencha en avant pour m’avaler, mais je la retins et m’écartai de ses lèvres. « Gourmande, lui dis-je ». je posai à nouveau mon sexe au bord de ses lèvres, sa bouche s’ouvrit à nouveau, mais elle ne chercha pas à m’avaler. Elle referma ses lèvres quand je pénétrai sa bouche. Je m’enfonçais doucement entre ses lèvres. Elle enroulait sa langue autour de ma verge au fur et à mesure que je me retirais de sa bouche. Ses lèvres étaient d’une douceur extrême et elle jouait de sa langue et de ses dents avec une ardeur démoniaque. Je me retirai de sa bouche et la contournai. Je m’emparai de ses seins. Sa tête partit à la renverse quand je plongeai en un fougueux baiser dans son cou.

Puis je m’agenouillai entre ses pieds. Ses mains dans son dos caressèrent mon sexe et le guidèrent entre ses jambes. J’attrapai une nouvelle fois sa crinière brune et l’attirai à moi « Laisse-toi faire » Puis je libérai ses mains pour les lier à nouveau devant elle. Elle se posa sur ses mains et me tendit sa croupe. Je guidai à mon tour mon sexe entre ses cuisses écartelées par la position. Puis, je la pénétrai profondément, lui arrachant un cri de satisfaction. « Alors tu aimes jouer les esclaves, hein ? tu aimes qu’on te plie à quelque volonté masculine… réponds !

- Oui, baise-moi comme une salope

- Tu aimes jouer les salopes ?

- Oui

- Alors prends ça, ressens mon sexe entre tes jambes écartelées, donne-moi ton cul, chienne, baise ma queue avec tes lèvres intimes, aspire-moi au fond de toi…"

M’agrippant à ses hanches, je l’attirai à moi avec entrain. Profondément empalé en elle, je jubilai du contact de son cul sur mon ventre, j’attrapai ses seins et la redressai pour mordre son cou. Ses mains se perdirent entre ses jambes et je sentis ses doigts malmener son clitoris. Je la repoussai et elle s’affala, les épaules et le visage sur le tapis vénitien. Ses mains enfouies entres ses cuisses, caressant son sexe et le mien au rythme de mes coups de reins. Elle se crispa et ses cris emplirent la pièce à mesure que l’orgasme la submergeait, m’emportant avec elle et je me répandis dans son dos en de longs jets de semence brûlante.

Je m’écartai d’elle, admirant son corps haletant et brillant de sueur, récupérant ma chemise et renfermant mon sexe dans mon boxer.

« A bientôt, lui soufflai-je en déposant un baiser dans son dos

- A bientôt, me répondit-elle sous sa chevelure, au hasard d’une rue ou peut-être plus organisé cette fois.

- C’est comme tu veux »

Puis je quittai son appartement, gardant en persistance rétinienne, l’image de son corps luisant de stupre au milieu de son salon.


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Commentaires
T
On dit souvent que le soumis n'est pas celui qu'on croit. Donc pas d'avilissement, juste le choix d'un plaisir optimal.<br /> Voyeuse ? Je suis aussi de ceux qui ne peuvent se passer de ce sens, se priver du spectacle d'une croupe avalant son sexe serait un gâchis.<br /> Merci pour le choix de la photo, mais c'est elle qui m'a inspiré !!
M
Pour moi le ressentiment est intégral, cette position faisant partie de mes favorites non pas que je m'avilisse devant le mâle mais simplement parce que le trajet est direct à une puissante pénétration.<br /> Il me faut juste le regard en plus, voyeuse que je suis...Rires<br /> Jolie photo.
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