A la campagne...

C'était une journée de printemps comme les autres, une matinée dont la brume s'était évanouie pour laisser place au doux soleil de saison. Nous étions en chemin pour une randonnée buccolique.
Le fond de l'air était frais, mais pas tant que ça... Au bout de quelques kilomètres, nous nous arrêtâmes pour une petite pause.
J'admirais la paix qui régnait dans se paysage vallonné, une petite rivière coulait en contrebas et les vaches paissaient tranquillement.
Je posai mon sac et me retournai pour demander à ma douce si tout allait bien pour elle.
Elle avait aussi quitté son sac, son coupe-vent, mais aussi son pull et son chemisier. Elle était là, devant moi, les seins encore prisonniers de son soutien-gorge, son short ouvert.
"tu viens ?" m'avait-elle demandé.
Je m'approchai alors d'elle, m'installai à ses côtés. Je passai une main dans ses cheveux et l'embrassai tendrement. Elle posa sa main sur la mienne et suivit mon bras, descendit le long de mes côtes et caressa mon entrejambe déjà comprimée par le spectacle de son corps en émoi au milieu des pâquerettes. Ma main descendit sur son sein et je passai un pouce entre sa peau et le tissu pour titiller son mamelon déjà dressé.
Sa main s'était occupée d'ouvrir mon pantacourt et se promenait à présent dans mon boxer, pétrissant mes couilles avec envie. Elle sortit mon sexe de sa cage de tissu et se pencha dessus pour l'embrasser doucement. Elle appliqua ses lèvres sur mon gland et m'aspira profondément.
Je me frayai en même temps un passage entre ses cuisses qu'elle écarta allègrement. L'amplitude de son short et l'absence surprise de culotte me permit de la caresser sans avoir à le lui ôter.
Sa bouche allait et venait sur mon sexe et plus elle accélérait, plus sa chatte se liquéfiait. J'attrapai alors son visage pour l'embrasser. Elle se mit à genoux et je descendis sur ses cuisses son petit short. Puis je la fis pivoter. Elle posa ses mains sur l'herbe fraîche, me présentant son cul en cambrant son bassin à l'extrême. Elle écarta légèrement les jambes quand ma main vint reprendre ses caresses sur son sexe inondé.
Je chevauchai alors ses jambes et présentai ma queue à l'entrée de ses cuisses. Je m'enfonçai en elle profondément. Une fois au fond de son sexe, elle resserra ses jambes. Je me sentais comme dans un étau de chair. Je m'agrippai à ses hanches et imprimai des va-et-vient de plus en plus appuyés. Ses soupirs et ses gémissements m'indiquaient que son plaisir n'était pas loin ce qui précipita ma jouissance, accompagné de ses cris et des spasmes de son sexe autour du mien.
Elle se releva, le sourire aux lèvres. Je la regardais, terrassé, le sexe sorti. Elle remonta son short, enfila son coupe vent, noua son pull autour de sa taille et me lança : "On y retourne ?"

Comments

[fred]

joli texte plein de fraicheur - on vous devine bien - bravo

[Eros Démon]

Mister Blade,
Je te souhaite une excellente année, en espérant que tes merveilleuses humeurs te conduisent à poster un max sur ton blog. Pour ma part, c'est promis, craché, juré, je m'organise une randonnée à la campgane en 2010.
A+ et au plaisir de te lire.

[Miss Anis]

Que ces instants sont délicieux Blade...
On a envie de retrouver le printemps et de se rouler dans l'herbe odorante...
C'est un plaisir de lire ce texte ce matin, vraiment.
Sourire et bises

[Mirka]

je te souhaite une belle année 2010 remplie de bonheur et espère que tu reprendra ton blog pour notre plus grand plaisir.

[chilina]

Bonne et heureuse année à vous..J'espère que vous allez bien