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Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
Les Humeurs de Blade
18 septembre 2009

Le DRH (fin)

Je croyais rêver, je me demandais si elle avait entendu parler de mon patron ou si finalement ce genre d’entretien était chose courante. En attendant, j’entendais bien, de mon côté, profiter de la situation comme il en profitait habituellement.

Son chemisier avait volé sur le porte manteau et elle commençait à dégrafer son soutien gorge. Je m’approchai d’elle et lui précisai, faussement assuré et reprenant les termes éculés de mon patron : « Je vois que vos arguments semblent tenir la route, voyons maintenant comment vous développez le sujet »

Elle s’empara de ma main et la porta sur son sein. De l’autre, elle s’empara de la bosse de mon entrejambe quand tout à coup, je me souvins qu’Erica n’était pas venue seule. Je jetai donc un œil sur le sofa où je vis son amie, la jupe remontée sur les hanches, le bustier ouvert, les doigts perdus dans les replis de son sexe glabre me regarder fixement.

Le téléphone sonna.

Je me défis de ses bras et me précipitai sur l’interphone. Je repris ma voix de DRH et m’adressai à Stéphanie, la standardiste complice « Cordélia, veuillez ne plus me passer aucun appel pendant l’entretien d’embauche !   

- Bien Monsieur. » répondit-elle sarcastiquement


Sando_2


Je relevai les yeux pour m’apercevoir qu’Erica était en train de se débarrasser de sa jupe et que son amie se caressait toujours aussi savamment. Erica ne portait sous sa jupe, qu’une paire de bas retenus par des porte-jarretelles assortis à son soutien-gorge et son amie ne semblait pas plus habillée.

Je revins donc vers elle. Elle m’attira vers le sofa et m’y poussa autoritairement.

« Vas-y Zoé, s’adressa-t-elle à son amie, montre lui comment nous savons nous développer nos arguments. »

Elle s’installa à côté de moi pendant que son amie commençait à défaire mon pantalon. Erica, à genoux sur le sofa, prit ma tête pour l’emprisonner entre ses seins somptueux pendant que Zoé venait de sortir mon sexe et de l’engloutir illico-presto entre ses lèvres pulpeuses. Je tendis les jambes pour l’aider à me débarrasser de mon pantalon pendant qu’Erica m’enlevait ma chemise. J’empoignai alors les deux seins magnifiques qui entouraient mon visage et en mangeai les mamelons dressés, agaçant du pouce celui que ma bouche ne pouvait honorer. Les talents de Zoé étaient bien réels et ses doigts palpant mes testicules eurent vite fait de me faire décharger dans sa gorge si je ne m’étais pas défait de son baiser démoniaque.

J’attirai son visage vers le mien et l’embrassai à pleine bouche, conservant le sein dressé d’Erica dans ma main.

La pression redescendue, j’autorisai les deux demoiselles à se partager ma queue dans une fellation à quatre mains et deux bouches avides. Avachi sur le sofa, je les regardais s’échanger mon gland dans un baiser saphique tout en caressant les croupes dressées de mes deux mangeuses. Je promenais mes doigts dans leurs sexes épilés et humides et caressais leurs clitoris gonflés.

Erica quitta ce baiser pour venir se positionner à cheval au dessus de moi. Je me redressai, replongeai entre ses seins et la laissai s’empaler doucement sur mon sexe que son amie dirigeait entre ses lèvres béantes. Elle s’empala profondément et entreprit un trot enlevé des plus vigoureux. De son côté, Zoé s’était accroupie à mes pieds et malaxait mes testicules. Je descendis mes mains dans le dos d’Erica pour aller titiller sa rondelle, dans l’espoir d’une chevauchée plus sauvage encore, quand je m’aperçus que les doigts et la langue de Zoé étaient déjà en train de préparer le terrain. Invitée par une poussée de son amie, Erica quitta mon sexe et Zoé le prit immédiatement en bouche. Erica se retourna et se repositionna au dessus de moi, en appui sur ses pieds. Son amie alternait entre ma queue et sa chatte. De mon côté je malaxais fermement ses seins. Puis, Zoé dirigea mon gland entre les fesses rebondies d’Erica. Je l’aidai en écartant les globes de chair. La lubrification opérée par Zoé lui permit de s’empaler d’un coup. Je repris ses seins en mains et les caressai au rythme de la chevauchée qu’elle reprit progressivement. Cette fois, Zoé avait tout loisir pour s’occuper du sexe d’Erica. Je sentais son souffle sur mes couilles.

Les fesses de ma cavalière caressaient mon ventre au rythme des coups de langue de Zoé. Je me perdais dans la chaleur de son cul somptueux. Je ne pouvais m'empêcher de me demander si ce rendez-vous  était vraiment un entretien pour un boulot. Qui va à un entretien sans culotte avec une amie également déculottée ? Je commençais à me demander si mon patron n'avait pas mis tout cela en scène pour me ranger de son côté.

Je sortis de ma réflexion quand Zoé insinua un doigt entre mes cuisses à la recherche d'un orifice jusqu'alors inusité dans une telle circonstance. Décidé à être ouvert à leurs propositions jusqu'ici intéressantes, j'avançais mon bassin pour lui faciliter la manœuvre. Cela permit à Erica de s'enfoncer plus encore sur mon sexe. Son doigt atteignit l'entrée de mon cul en un tournoiement singulier. La salive qui coulait de ses léchouilles sur nos sexes en mouvement lubrifia suffisamment ce doigt inquisiteur pour le faire passer ma barrière musculaire. Je sentis alors son doigt se retourner dans mes fondement et aller caresser ma prostate.

Ce traitement de choc eu raison de ma retenue et c'est dans un râle puissant que je jouis dans le cul de cette étrange candidate sans vergogne. Les caresses de son amie finirent d’attiser l’excitation d’Erica et elle se laissa submerger par l’orgasme dans une tempête de spasmes non-contenus.

Je me rhabillai et lui proposai :

« Dans ces conditions, je me dois de vous assurer de notre soutien pour l’obtention du poste, je vous propose toutefois un autre rendez-vous afin que vous rencontriez mon patron qui pourra en attester au nom de la Société.» Je me dirigeai vers l’agenda « Erica comment, rappelez-moi ? Lui demandai-je

- Cynthia, Cynthia Laurent précisa-t-elle, femme de Pierre Laurent, votre patron. » Je me demandai alors s’il s’agissait d’un piège de sa part ou de celle de mon patron, je bredouillai à nouveau « C’est à dire que… je ne savais pas…

- Je le sais bien, répondit-elle, c’était pour savoir quel type d’entretien vous faîtes passer, ici.

- Je puis vous assurer, Madame, que…

- Arrêtez vos excuses incessantes, vous m’en inventez de nouvelles toutes les semaines, me coupa-t-elle. Mon mari a toujours été volage et il a toujours cru que j’étais dupe de ses aventures. Il n’en est rien. Je sais même qu’il s’est tapé ma témoin le jour de notre mariage. Mais les femmes sont vénales, je ne le quitterai pas au risque de perdre le soutien financier qu’il m’apporte. Alors, je me contente de mon côté, avec Zoé et/ou toute autre opportunité. Quand je vous ai appelé ce matin et que vous m’avez dit qu’il serait sorti, j’ai immédiatement raccroché et Zoé a pris un rendez-vous pour moi. Rassurez-vous, je ne lui dirai rien sur cet entretien et, si vous êtes discret de votre côté, je reprendrai un rendez-vous la prochaine fois qu’il sera sorti » S’étant rhabillée pendant ses explications, elle remit la lanière de son sac sur son épaule, me fit un clin d’œil et invita Zoé à sortir du bureau, d’une tape sur la fesse.

The End


Cette histoire est librement inspirée d'un dessin de cet artiste de renom qu'est Monsieur Sandokan

Merci à lui pour son aimable autorisation et je vous invite, si ce n'est déjà fait, à aller admirer son travail et sa vision si poétique et si esthétique de la femme. (Mais non, j'en fais pas trop)

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Commentaires
M
Bonjour Blade,<br /> <br /> Belle intrigue votre dernière nouvelle ,j'aime beaucoup...mais où va-t-on je vous le demande , si les épouses des cadres supérieurs s'encoquinent à l'image de leur pervers de mari :)<br /> Mais chapeau bas très cher, très belle illustration du dessin de Monsieur Sandokan,il peut en être fier <br /> Bonne journée!
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