Ingrid (8)
Plongeant dans l'atmosphère érotique du moment, elle s'agenouilla à ses pieds et le débarrassa du caleçon pour découvrir un membre presque aussi impressionnant que celui de Fred.
"Ouaaah, mais c'est un élevage, ou quoi, vous êtes tous aussi bien membré ? demanda-t-elle en s'emparant du vit turgescent. Elle le branla d'une main ferme et assurée, caressa ses bourses de l'autre.
- Fred est mon frangin, on vient
du même moule. Et on côtoie les mêmes moules, aussi" lui sourit-il en
plongeant ses mains dans sa chevelure, flamboyant aux reflets du soleil
couchant.
Ingrid ouvrit grand sa bouche et engloutit le gland gonflé, elle en fit le tour de sa langue experte, en titilla le frein et l'enfonça au plus profond de sa bouche, rafraîchie par les glaçons qu'elle suçait depuis un moment. L'effet fut immédiat. Phil lâcha un râle de plaisir qui fit se retourner Étienne et Fred.
Fred avait quitté sa chemisette
et pratiquait un massage sur le bas du dos fatigué de la grande Sophie. Celle
ci avait quitté le haut de son maillot inutile et soupirait de plaisir sous les
mains de Fred. Les deux hommes continuaient de discuter, la discussion avait
tourné aux vins, Fred vantait les vins de bourgogne alors qu'Étienne défendait
les bordeaux. Ils appuyaient leurs dires d'adjectifs adéquats, courbes
chaleureuses, corps, cuisses, robustesse, châtoyance. Étienne caressait les
cheveux de Sophie alors que Fred massait les reins ondulant de la brune.
Les
mains d'Étienne avaient rejoint celles de Fred et caressaient à présent le haut
du dos de la jeune fille. Elles remontaient dans sa nuque, parcourraient ses
épaules, descendaient dans son dos et remontaient le long des lignes de ses
seins écrasés. Fred était descendu sur ses fesses et les malaxait
avidement. Il les passa sous l'élastique du string dont il se débarrassa rapidement.
Elle était à présent nue sous les mains éperdues
des deux hommes électrisés de ses courbes. Elle ondulait sous les caresses,
laissant la place à Étienne pour passer sous ses seins et accéder à ses tétons
érigés. Elle remonta son bassin pour se retrouver à genoux et sur les coudes
sous les caresses masculines, les cuisses écartées pour diaboliser plus encore
les caresses de Fred qui pouvait à présent descendre le long de la fente humide
et plonger entre ses lèvres entrouvertes, lui arrachant de nouveaux soupirs
plus profonds. Elle avait posé sa tête sur les cuisses d'Étienne et passait sa
main à l'intérieur de son bermuda pour caresser sa verge.
Étienne se redressa, souleva le bassin pour qu'elle redonne sa liberté au membre objet de ses envies. Le vit fièrement dressé sous les yeux fermés de la demoiselle ne vit pas longtemps la lumière du jour tant il fut rapidement englouti par ses lèvres gourmandes, comme pour taire les gémissements que lui provoquaient les doigts de Fred qui la visitaient par tous les orifices. Sophie tendait son cul aux pénétrations digitales, relevée sur ses genoux. Fred avait deux doigts plantés dans le sexe inondé de la jeune fille, agaçait le clitoris de son pouce et titillait de l'autre index les portes de ses reins. Il accompagnait ses doigts d'une langue experte qui se perdait entre une succion du bouton enfiévré et une "feuille de rose" des plus délicates, tout en mélangeant sa salive à ses sucs qui s'écoulaient entre ses doigts.
A suivre...